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Physique et métaphysique

Conscience et énergie 1/3

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Si l’on me deman­dait aujourd’hui de quoi est fait l’univers, je par­le­rais spon­ta­né­ment de conscience et d’information. L’énergie n’arriverait pas très loin, et il serait d’ailleurs appro­prié de la faire entrer dans l’équation. C’est en effet l’énergie qui per­met l’échange d’information dans l’univers, échange indis­pen­sable à l’avancement de la conscience. On pour­rait dire que l’éner­gie et la conscience sont néces­saires et suf­fi­santes à la cocréa­tion de l’exis­tence phy­sique et méta­phy­sique. Ou encore qu’il existe une inter­ac­tion syner­gique per­ma­nente entre l’énergie et la conscience à toutes les échelles.

Là où la phy­sique stan­dard n’étudie que l’énergie, la matière ou encore le mou­ve­ment, la théo­rie du champ uni­fié de Nassim Haramein y ajoute la conscience. En fait, ce phy­si­cien semble avoir com­pris que la phy­sique découle de la méta­phy­sique, et que les deux s’auto-alimentent. De quoi tra­cer un che­min hors des sen­tiers battus.

Justement, sa théo­rie donne un autre point de vue sur les para­doxes et autres étran­ge­tés qui sont à la base de la phy­sique stan­dard. Dans cette série d’articles, nous allons ain­si abor­der dif­fé­rem­ment les sys­tèmes iso­lés, la renor­ma­li­sa­tion de l’infini, la rota­tion des objets célestes dans un envi­ron­ne­ment appa­rem­ment sans frot­te­ment depuis le big bang. Nous allons ques­tion­ner l’existence de la matière noire et de l’énergie noire, le vide, le temps, l’espace… Autant de nou­velles inter­pré­ta­tions qui découlent de la conscience et de son lien avec l’énergie.

 

La Conscience est première

Chercher à com­prendre, expli­quer, ou inter­pré­ter l’univers et ce qui le com­pose revient à explo­rer la conscience. On ne peut pas échap­per à la conscience. La conscience est pre­mière [1].

Cependant, la conscience émerge éga­le­ment dans l’univers grâce à une dyna­mique éner­gé­tique spé­ci­fique. La conscience est pre­mière et elle émerge dans l’univers ? Cela peut sem­bler para­doxal… à moins que nous ne levions deux sources de confu­sion. La pre­mière est de ne consi­dé­rer la conscience que du point de vue du Moi. En tant qu’être humain qui vivons des prises de conscience dès notre venue au monde, nous avons ten­dance à pen­ser que la conscience émerge dans notre per­cep­tion. C’est vrai, mais c’est très réduc­teur pour la conscience.

Seconde source de confu­sion : nous pou­vons aus­si pen­ser que notre men­tal n’est autre que notre conscience elle-même.

 

L’énergie permet à la conscience de s’expérimenter

conscience-et-metaphysiqueIl n’y a guère que l’expérience qui puisse nous aider à lever ces confu­sions. C’est du moins ma façon de voir depuis l’expansion de conscience que j’ai vécue en 2013. Ma conscience était alors syn­chro­ni­sée sur mon men­tal et son fonc­tion­ne­ment linéaire, jusqu’à ce qu’une pres­sion d’origine phy­sio­lo­gique – une rup­ture d’anévrisme – la sorte de ce pro­ces­sus machi­nal. Elle a alors bas­cu­lé dans un espace immen­sé­ment plus vaste, comme si elle retrou­vait un flux natu­rel, auquel cepen­dant ma per­cep­tion n’avait encore jamais eu accès. J’ai ain­si pris conscience, l’espace d’un ins­tant, de la vas­ti­tude de ma conscience, et sur­tout de sa pri­mau­té [2].

De façon plus géné­rale, l’expérience induit un dif­fé­ren­tiel de conscience par lequel pro­gresse cette-dernière. De ce point de vue, la conscience n’a de sens que dans l’expérience. En revanche, du point de vue de la pré­sence [3] – l’état dans lequel je me suis retrou­vée lors de l’expansion de ma conscience – le dif­fé­ren­tiel induit par l’expérience n’existe plus [4]. La pré­sence est comme la conscience qui ne se connai­trait pas par l’expérience. Seule l’expérience per­met d’agir, à tra­vers le mou­ve­ment qu’engendre les dif­fé­ren­tiels de conscience… et donc d’expériences. On pour­rait dire que l’expérience est le ter­reau de la prise de conscience. 

Quel est le rap­port avec l’énergie me direz-vous ? Eh bien c’est l’énergie qui per­met l’expérience de la conscience. Jusqu’à l‘émergence de la conscience de soi, et, éven­tuel­le­ment, la réa­li­sa­tion que la conscience est pre­mière et sous-tend sa propre expérience.

Cela implique un observateur.

 

La question de l’observateur

L’observateur en physique et en métaphysique

« En phy­sique, un obser­va­teur est un hypo­thé­tique per­son­nage doté d’ins­tru­ments de mesures de l’es­pace et du temps, obser­vant depuis son réfé­ren­tiel les expé­riences qui ont lieu à dif­fé­rents endroits de l’es­pace (…) En phy­sique quan­tique, les condi­tions de mesures de l’ob­ser­va­teur sont, en plus, sou­mises aux pos­tu­lats de la méca­nique quan­tique, dont le prin­cipe d’in­dé­ter­mi­na­tion . » [5]

En méta­phy­sique, un obser­va­teur est un être conscient. Mais il n’a pas for­cé­ment conscience d’être conscient… !

A la ques­tion « faut-il être conscient de soi pour pou­voir obser­ver ou bien obser­ver pour deve­nir conscient de soi ? » le méta­phy­si­cien répon­dra : les deux. Avant, sans doute, d’ajouter une sub­ti­li­té. Selon lui, il y a en effet deux caté­go­ries d’observateurs : le spec­ta­teur et l’observateur qui a conscience qu’il observe. Le pre­mier se consi­dère comme sans influence – peut-être même comme objec­tif – alors que le second a conscience d’obser­ver l’univers d’un point de vue sub­jec­tif [6], de l’interpréter et d’y par­ti­ci­per.

 

De l’observateur au joueur

Les décou­vertes de la phy­sique quan­tique ont ini­tié une impor­tante réflexion autour de la place de l’observateur et de son lien avec la conscience. Jusqu’alors, ce que l’on connais­sait de la phy­sique n’avait jamais mené à ce ques­tion­ne­ment. En effet, à notre échelle, les objets clas­siques se com­portent de manière régu­lière et pré­dic­tive, nous don­nant par exemple le droit de pen­ser que si l’on quitte une pièce, les objets qu’elle contient s’y trou­ve­ront tou­jours lors­qu’on revien­dra. Tout se passe comme si les choses conti­nuaient que nous les obser­vions ou pas. L’influence de l’observation peut ain­si nous échapper.

En revanche, au niveau quan­tique, on ne peut rien dire de tel. Lorsque nous n’observons pas, il y a un défaut de connais­sance ; alors, plu­sieurs réa­li­tés sont pos­sibles. C’est ce que l’on appelle la super­po­si­tion quan­tique. A par­tir du moment où nous obser­vons, la super­po­si­tion s’ef­fondre, lais­sant place à une seule réalité.

Quel est le point com­mun entre les deux échelles ? C’est la conscience.

L’observateur, au sens méta­phy­sique du terme – le seul qui vaille fina­le­ment puisque la conscience est pre­mière – a une influence sur l’avancement de la com­plexi­té et de la conscience dans l’univers. En retour, l’univers a une influence sur lui.  Dès que la conscience de l’observateur change, il n’observe plus son envi­ron­ne­ment de la même façon, ce qui influence en retour la conscience avec laquelle il per­çoit. Ainsi, son inter­pré­ta­tion est en lien direct avec la conscience qui est la sienne au moment où il observe.

Chaque obser­va­teur étant ain­si com­plè­te­ment impli­qué dans la construc­tion de la réa­li­té, il serait sans doute plus juste de par­ler de joueur. Les joueurs sont fina­le­ment, grâce à leur conscience, la condi­tion même d’existence du ter­rain de jeu.

 

Le joueur et ce qui se joue dans l‘univers ne font qu’un

D’après la théo­rie du champ uni­fié, la conscience est un feed­back d’information entre notre monde inté­rieur et notre monde exté­rieur. C’est à par­tir de la struc­ture du double tore que Nassim Haramein a com­men­cé à com­prendre pour­quoi et com­ment la conscience émerge par retour d’information.

 

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« Pour être conscient de soi, il faut savoir que l’on existe. Cela demande une rétro­ac­tion. La struc­ture du double tore per­met cette rétro­ac­tion entre ce qui vient de l’extérieur et ce qui retourne à l’intérieur, infor­mant le vide, puis repar­tant vers l’extérieur. Et lorsqu’il retourne vers l’extérieur, le vide nous informe du résul­tat de l’information pré­sente dans le vide. C’est un échange entre notre com­pré­hen­sion interne et l’expérience de l’univers, et la rela­tion de toutes les com­pré­hen­sions ras­sem­blées dans le vide affec­tant la nôtre. Donc on ne crée pas sa réa­li­té, on la co-crée avec tout le monde. »  [7]  et [8]

          

L’univers fait une boucle de rétro­ac­tion sur lui-même pour s’observer à toutes les échelles. Il s’observe en fait à tra­vers tous les êtres conscients qui évo­luent en son sein. Plus pré­ci­sé­ment, c’est le niveau fon­da­men­tal de qui nous sommes qui rayonne et s’effondre per­pé­tuel­le­ment sur lui-même, en une boucle infi­nie de rétroaction.

Ainsi, nos obser­va­tions ne sont pas les nôtres, parce que nous n’observons pas l’univers d’un point de vue exté­rieur. Nous sommes par­tie pre­nante de son propre pro­ces­sus de prise de conscience. Et nous pou­vons uti­li­ser ce pro­ces­sus consciem­ment pour orien­ter la créa­tion et tra­cer le che­min par lequel nous dési­rons pas­ser, en cocréa­tion avec les autres [9].

Pour cela, nous uti­li­sons l’énergie. L’énergie suit la conscience.

 

L’énergie suit la conscience


« Nous bai­gnons dans une éner­gie fon­da­men­tale qui est à la source de la créa­tion du monde phy­sique. Cette éner­gie c’est le vide, ou l’es­pace qui nous entoure. Cet espace cepen­dant n’est pas vide dans le sens usuel du terme mais plein d’éner­gie, une éner­gie qui connecte abso­lu­ment tout. » [10]

 

Nassim Haramein met ici en rela­tion le vide, l’espace et l’énergie. Du point de vue de la phy­sique, le vide n’existe pas.

Du point de vue de la méta­phy­sique, seules la conscience et l’énergie existent. Ce que l’on appelle « espace » est sim­ple­ment de l’énergie et des poten­tiels non explo­rés (bien que du point de vue du men­tal, l’espace existe et soit per­çu comme vide).

 

L’espace n’est rien d’autre que de l’énergie

Nassim Haramein s’intéresse au vide et sur­tout à l’énergie qu’il contient car celle-ci est pour lui la source de la matière. Il a décou­vert que le vide a une struc­ture géo­mé­trique, celle de la fleur de vie en 3D.

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Cette struc­ture est infi­nie et tapisse ce que l’on appelle com­mu­né­ment « l’espace ». L’espace connecte toutes les échelles, du niveau quan­tique – où les équa­tions pré­disent qu’il existe une éner­gie infi­nie en chaque point – au niveau cos­mo­lo­gique. Toute l’énergie est déjà là, même si l’on n’en a pas conscience.

La phy­sique stan­dard laisse volon­tai­re­ment l’immense majo­ri­té de cette éner­gie de côté en uti­li­sant un pro­ces­sus de renor­ma­li­sa­tion, qui attri­bue une valeur finie à l’énergie du vide quantique.

« (…) Des infi­nis absurdes à pre­mière vue inter­viennent dans les autres théo­ries par­tielles, mais dans tous les cas ces infi­nis peuvent être annu­lés par un pro­cé­dé appe­lé « renor­ma­li­sa­tion ». Bien que cette tech­nique soit rela­ti­ve­ment dou­teuse sur le plan mathé­ma­tique, elle semble mar­cher en pra­tique et elle a été appli­quée à ces théo­ries pour faire des pré­dic­tions qui collent aux obser­va­tions avec un extra­or­di­naire degré de pré­ci­sion. La renor­ma­li­sa­tion, cepen­dant, a un sérieux incon­vé­nient du point de vue de la recherche d’une théo­rie com­plète, parce que cela signi­fie que les valeurs réelles des masses et les inten­si­tés des forces ne peuvent être pré­dites par la théo­rie mais doivent être choi­sies de manière à col­ler aux obser­va­tions. » [11] et [12]   

Stephen Hawking énonce ici en creux ce qui a per­mis à Nassim Haramein de trou­ver une théo­rie com­plète, en pre­nant en compte l’infini et sans faire appel à la renor­ma­li­sa­tion. Ainsi a‑t-il réus­si à pré­dire la valeur réelle de la masse du pro­ton et des trous noirs en géné­ral, nous y revien­drons dans l’article 2…

 

L’énergie est équivalente partout


« Les objets phy­siques ne sont pas dans l’es­pace, mais ces objets sont une exten­sion de l’es­pace. De ce point de vue, le concept d’es­pace perd toute signi­fi­ca­tion. »
[13]

fleur-de-vieL’espace – ou l’énergie – est une fluc­tua­tion à la source de notre réa­li­té. Aussi, au lieu par exemple de se voir comme un corps, on peut se voir comme étant consti­tués de mil­liers de mil­liards de cel­lules. Chacune de ces cel­lules est com­po­sée de mil­liards d’atomes. A l’intérieur de cha­cun de ces atomes, cir­culent les uns autour des autres à la vitesse de la lumière, des pro­tons. Ils sont cha­cun for­més de 1055 minus­cules paquets d’énergie, appe­lés Unités Sphériques de Planck (USP) ou voxels par Nassim Haramein. Ces voxels consti­tuent l’unité fon­da­men­tale de la fabrique de l’espace-temps, assem­blés géo­mé­tri­que­ment selon la struc­ture infi­nie de la fleur de vie en 3D.

Il n’y a pas d’es­pace entre les par­ti­cules, il n’y a que de l’éner­gie. D’ailleurs le phy­si­cien montre que si l’on tient compte de l’énergie conte­nue dans le pro­ton, on peut enfin expli­quer la dif­fé­rence de den­si­té de l’éner­gie entre le niveau quan­tique et le niveau cos­mo­lo­gique [14]. Finalement l’énergie est égale, équi­va­lente par­tout.

Maintenant, si l’on consi­dère que l’espace n’existe pas, que deviennent alors les concepts de temps et de dimension ?

                  

Sans espace, qu’est-ce que le temps ?

Depuis la théo­rie de la rela­ti­vi­té res­treinte (Einstein, 1905), le concept d’espace est étroi­te­ment asso­cié à celui de temps. Ces notions sont deve­nues insé­pa­rables et d’une influence réci­proque l’une sur l’autre. Pour Nassim Haramein, le temps cepen­dant est un concept humain. Il pré­fère par­ler d’espace-mémoire, car selon lui c’est la mémoire qui s’encode sur la trame de l’espace, nous don­nant la notion du temps qui passe.

Mais que ce soit une ques­tion de mémoire ou de temps, s’il n’y a pas d’espace il n’y a pas d’espace, me direz-vous ! En fait, je vois plu­tôt la mémoire comme des paquets d’énergie et de conscience qui deviennent dis­po­nibles depuis notre pers­pec­tive humaine. On pour­rait dire que l’on ne se déplace pas dans l’espace-temps – ou l’es­pace ‑mémoire – mais que l’espace-mémoire se déplace à tra­vers nous.

Cela rejoint la pers­pec­tive méta­phy­sique où toute mani­fes­ta­tion d’énergie est un évé­ne­ment vibra­toire [15], décor­ré­lé du temps et de l’espace mais en aucun cas décor­ré­lé de la conscience. Le temps, comme l’espace, n’existent nulle part ailleurs que dans le men­tal. C’est lui qui per­çoit la linéa­ri­té et la sépa­ra­tion, là où tout n’est que réso­nance dans le moment présent.

 

Sans espace, qu’est-ce qu’une dimension ?

Une dimen­sion est rela­tive à une mesure [16]. Cependant, Nassim Haramein consi­dère qu’une dimen­sion se réfère à l’échelle ou la taille d’une struc­ture plu­tôt qu’à une orien­ta­tion dans l’espace. Selon sa théo­rie, il existe un nombre infi­ni de dimen­sions sca­laires [17], la plus petite et la plus per­ti­nente pour défi­nir notre rela­tion à l’univers étant le voxel (sphère de Planck). 1055 voxels – soit la masse de l’univers – s’inscrivent dans un seul pro­ton. Comment est-ce pos­sible ? Il s’agit en fait de la masse holo­gra­phique, basée sur l’information pré­sente [18]. Le phy­si­cien a éga­le­ment mon­tré que l’univers est frac­tal. La nature holo­frac­to­gra­phique de l’univers revient à dire que tous les pro­tons com­mu­niquent entre eux.

Si tel est le cas, cela signi­fie que l’énergie est com­mu­ni­ca­tion, et c’est ce que nous allons explo­rer dans le pro­chain article !

 

 



Notes et références
   
     

[1] Voir l’article sur La boucle étrange de la conscience.
[2] Lire Mon his­toire pour en savoir plus.
[3] La pré­sence est un état. Un état sin­gu­lier de conscience. Elle se vit au-delà des mots. Dès lors, ceux-ci peuvent seule­ment nous aider à cer­ner ce que la pré­sence n’est pas, c’est-à-dire la non-présence, le men­tal.
[4] Voir éga­le­ment l’article sur l’expérience consciente à ce sujet.
[5] Source : wiki­pé­dia
[6] Voir éga­le­ment l’article objec­ti­vi­té et sub­jec­ti­vi­té : la per­cep­tion uni­fiée.
[7] HARAMEIN Nassim, cité par la Resonance Science Foundation.
[8] Vous pou­vez consul­ter l’article sur l’univers frac­tal et holo­gra­phique pour en savoir plus sur la dyna­mique du double tore. Et éga­le­ment : l’ar­ticle sur le prin­cipe de rythme, et celui sur le prin­cipe de genre pour une vision plus méta­phy­sique.
[9] L’émergence de la conscience pose la ques­tion du libre-arbitre, j’en parle dans l’article Le libre-arbitre existe-t-il ?
[10] HARAMEIN Nassim, juin 2015, Conférence à Bruxelles [vidéo]
[11] HAWKING Stephen, Une brève his­toire du temps, Ed.Flammarion, 2018, p.191
[12] Pour en savoir plus sur le pro­ces­sus de renor­ma­li­sa­tion, vous pou­vez consul­ter l’article De la renor­ma­li­sa­tion aux frac­tales.
[13] EINSTEIN Albert, cité par HARAMEIN Nassim, L’univers connec­té [vidéo], 2015
[14] Cette dif­fé­rence est connue dans la théo­rie stan­dard comme la pire pré­dic­tion jamais faite en phy­sique. Pour en savoir plus, vous pou­vez consul­ter l’article Gravité quan­tique et pro­ton de Schwarzschild.
[15] Voir éga­le­ment l’ar­ticle sur le Principe de vibra­tion pour avoir un autre point de vue sur le temps.
[16] Dimension, du latin dimen­sio qui signi­fie « action de mesu­rer ».
[17] Un sca­laire est une quan­ti­té phy­sique qui n’est spé­ci­fiée que par sa gran­deur (sans idée de direc­tion), et qui s’exprime avec un nombre sui­vi ou non d’une uni­té.
[18] Voir l’article Gravité quan­tique et pro­ton de Schwarzschild.

 




 

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