Le principe de rythme
9 NOVEMBRE 2021 (mis à jour le 10 février 2024)
« Tout s’écoule, au dedans et au dehors ; toute chose a sa durée ; tout évolue puis dégénère ; Le balancement du pendule se manifeste dans tout ; la mesure de son oscillation à droite est semblable à la mesure de son oscillation à gauche ; le rythme est constant. » [1]
Table des matières
Après la publication de l’article sur le principe de polarité, j’ai éprouvé le besoin de faire une pause. En fait, je devrais plutôt dire : j’ai cru faire une pause en m’intéressant à des informations a priori sans rapport avec le principe de rythme – tout a commencé par des découvertes aussi inattendues qu’enthousiasmantes sur l’eau – jusqu’au jour où l’évidence du lien entre ces informations et ce principe m’est clairement apparue.
Ainsi, au fil de l’eau, si je puis dire, l’interdépendance que j’aime mettre si souvent en avant sur ce blog m’a rattrapée ! Poursuivant mes recherche, j’ai découvert une conception renversante de la circulation sanguine et du cœur. Là, précisément, où le point commun entre le Kybalion, les travaux de l’artiste Frank Chester et ceux du physicien Nassim Haramein s’est révélé.
Mais qu’est-ce qui peut bien relier le principe de rythme, l’art et la physique me direz-vous ? Rien de moins que la géométrie du cœur et son interaction avec l’univers. Je vous invite à partir avec moi dans cette passionnante exploration, et pour commencer, nous allons essayer de mieux cerner le rythme…
Définir le rythme ?
« Le rythme surgit dans la création, s’impose à la perception, qui le reconstitue, s’exclamant alors : « Voilà le rythme ! », ou mieux : « Voilà du rythme ! », tant le mot semble échapper à tout article défini, voire à toute définition. »
PAUL VALÉRY [2]
Si nos sens nous permettent de percevoir le rythme, il n’en reste pas moins mystérieux. Percevoir l’alternance du jour et de la nuit ou la régularité des saisons, percevoir pour chaque phénomène le début, la durée, la fin et leur répétition nous est plutôt familier. Mais comme nous l’a montré le principe de polarité, chaque phénomène est la manifestation d’une vibration dans un continuum situé entre deux polarités. Car où commence le jour et où finit la nuit ? La fin d’un phénomène n’est que le commencement de son complémentaire. Tout l’univers est ainsi soumis aux lois de contraction et d’expansion.
Le mystère du rythme s’épaissit lorsque l’on s’aperçoit que ces mouvements ont une dynamique fractale [3], laissant entrevoir des rythmes à l’intérieur du rythme. Par exemple, l’être humain respire environ 25 920 fois par jour, tandis que le soleil traverse les 12 signes du zodiaque en 25 920 ans [4].
Le Kybalion utilise l’image du pendule pour illustrer le principe de rythme, celle du compas est intéressante également. Instrument typique du géomètre, il représente en effet deux polarités séparées par un intervalle d’amplitude plus ou moins grande. Tracez simplement un cercle et un enseignement apparaîtra : il existe un centre, un point immobile entre deux polarités [5]. C’est le point zéro, par lequel repasse le pendule avant d’aller à l’autre extrême.
Chez l’être humain, ce point, qui équilibre les polarités, est situé au niveau du cœur.
Le cœur, l’être humain et l’univers
Etes-vous prêts à découvrir la géométrie sacrée qui se cache dans le ventricule gauche de votre cœur ? ll s’agit d’un chestaèdre, ainsi baptisé par Frank Chester, le sculpteur qui a dévoilé cette forme.
Les travaux de Nassim Haramein convergent remarquablement vers le chestaèdre, d’un point de vue philosophique et géométrique. Les deux hommes semblent en effet dire la même chose de manière différente à propos de la véritable fonction du cœur chez l’être humain.
En tant que physicien, Nassim Haramein parle du cœur comme d’une singularité, un point d’accès à l’infini. Quant à Frank Chester, il évoque un organe qui travaille à établir une harmonie entre notre corps physique et notre nature spirituelle. Il s’est pour cela inspiré du motif des 7 sceaux dessiné par Rudolf Steiner (ci-contre), et de l’une de ses déclarations – sur laquelle je reviendrai plus tard – « le cœur n’est pas une pompe » [6].
Entre expansion et contraction, le chestaèdre
Formé de 4 triangles équilatéraux et 3 cerfs-volants, le chestaèdre possède 7 faces de surfaces égales et 3 axes de symétries.
Frank Chester est parvenu à construire ce polyèdre de deux manières différentes, à partir d’un tétraèdre [7] :
- En faisant tourner tel un vortex le tétraèdre dans un cube (mouvement de contraction)
- En ouvrant les côtés du tétraèdre à partir d’un de ses sommets, à un angle de 94,83 degrés (mouvement d’expansion). Les 4 triangles équilatéraux du tétraèdre se trouvent ainsi disposés de la même manière que ceux du chestaèdre.
Si ces trois mots-clés – contraction / expansion / tétraèdre – vous rappellent quelque chose, c’est normal ! Ils sont le fondement de la théorie de Nassim Haramein, dans laquelle le tétraèdre est considéré comme la forme fondamentale de l’univers [8]. Un univers dont l’expansion et la contraction dépendent précisément de la dynamique de deux structures elles-mêmes formées de tétraèdres :
A gauche l’étoile tétraédrique, formé de 8 tétraèdres pointant vers l’extérieur (expansion). A droite, le cuboctaèdre, formé de 8 tétraèdres pointant vers l’intérieur (contraction).
Etonnement (ou pas…), le chestaèdre et le cuboctaèdre trouvent leur place, pour des raisons différentes, entre les deux mêmes solides platoniciens : le cube et l’octaèdre. Notons qu’ils ont également tous deux la particularité d’être « irréguliers », composés de deux polygones de base, et non pas d’un seul comme le sont les solides platoniciens.
Au cœur du chestaèdre, le vide
Frank Chester a découvert qu’au centre du chestaèdre se trouve une étoile à six branches [9]. Mon premier réflexe a été de transformer cette géométrie en trois dimensions, afin d’avoir une représentation cohérente (un objet en trois dimensions dans un autre). Comme vous le savez peut-être, le résultat de cette transformation est… une étoile tétraédrique !
Le principe de polarité veut qu’une étoile tétraédrique n’existe pas sans sa contrepartie : le cuboctaèdre. Ensemble, ces deux géométries forment la structure du vide, découverte par Nassim Haramein. Elle est composée de 64 tétraèdres et représente l’équilibre entre les forces de contraction et d’expansion. Il s’agit selon moi de l’équilibre que Frank Chester a lui-même cherché dans ses travaux.
La structure du vide est fractale, elle se déploie sans cesse de l’infiniment petit à l’infiniment grand et réciproquement, en échangeant de l’information. N’est-il pas remarquable que Nassim Haramein ait montré une similitude entre la géométrie qui permet l’échange d’information dans l’univers et la manière dont un cœur bat ?
Pour boucler la boucle et revenir à une géométrie en deux dimensions, précisons que la structure du vide correspond au motif de la fleur de vie (avec 37 cercles) [10].
L’expression du principe de rythme
Le rythme, ou ce que l’on perçoit comme tel, est lié au temps… ou ce que l’on perçoit comme tel ! Au-delà de notre perception temporelle existe ce qui régit véritablement tout dans l’univers selon les hermétistes : la vibration. La vibration donne à la fois un rythme et une forme. La cymatique en offre un exemple concret, la vibration étant le point de convergence entre des structures rythmiques inscrites dans le temps et des structures géométriques inscrites dans l’espace.
« Si vous voulez décrire l’univers entier dans une seule théorie unificatrice, il vous faut prendre en compte et décrire dans les détails la seule chose qui est présente partout dans l’univers et qui relie tout, à toutes les échelles du plus petit au plus grand : l’espace. »
NASSIM HARAMEIN [11]
L’espace – et le rythme qui s’y exprime à toutes les échelles ajouterais-je – peut être décrit géométriquement et mathématiquement à travers 3 expressions fondamentales d’après Nassim Haramein.
1. La géométrie vectorielle scalaire : le cuboctaèdre
Seul solide géométrique dont tous les vecteurs sont égaux, le cuboctaèdre est en équilibre parfait.
Cependant, le principe de rythme nous enseigne que tout ce qui monte doit descendre, que tout ce qui va vers l’intérieur doit aller vers l’extérieur et inversement. Ainsi, si le cuboctaèdre est la structure à travers laquelle agit la force gravitationnelle en générant un mouvement de contraction, l’étoile tétraédrique est la structure à travers laquelle agit la force électromagnétique en générant un mouvement d’expansion.
2. La dynamique des flux : le tore
Ces deux forces forment comme nous l’avons vu la structure du vide, et évoluent dans un double mouvement polarisé. Il s’agit d’un double tore dans lequel l’information circule de l’extérieur vers l’intérieur et inversement en passant toujours par le centre et en étant chaque fois renouvelée. Voilà comment circule l’énergie dans le double tore :
Et voilà les formes parfois insoupçonnables qui sont également des doubles tores polarisés :
3. La dynamique des champs : la spirale
Sur la représentation de l’étoile tétraédrique ci-dessous, en deux dimensions, on observe 12 spirales de Fibonacci. Elles partent toutes du même point central et se rejoignent aux 12 points nodaux de l’étoile, dont 6 points délimitent un hexagone central (ou cuboctaèdre en 3D). La moitié de ces spirales est orientée dans un sens, et l’autre moitié dans l’autre sens. Ces deux polarités inversées dévoilent une nouvelle fois la dynamique géométrique de l’univers : le double tore.
Serez-vous étonnés d’apprendre que la musculature du cœur et des artères, jusqu’aux pré-capillaires est orientée en spirale, augmentant ainsi le mouvement du sang ?
Quoi, le sang serait donc mû par autre chose que le cœur ?
C’est la piste que je vous invite à explorer à présent…
L’exemple du cœur et de la circulation du sang
« Le premier exemple dans la littérature scientifique réfutant le cœur en tant que pompe est apparu en Allemagne dans les années 30 à peu près en même temps que les premières discussions sur la physique des systèmes ouverts. »
WALTER ALEXENDER [12]
Système loin de l’équilibre thermodynamique, forces de propulsion qui proviennent d’une échelle beaucoup plus petite (microcirculation) [13], feedback… soient autant de notions déjà explorées sur ce blog. Il n’en fallait pas davantage pour que je m’intéresse de très près à la question posée par le professeur d’anesthésiologie Branko Furst : Le cœur est-il mû par le sang, ou l’inverse ?
Bon, je ne vais pas y aller par 4 chemins : le quadripôle cardiaque ne ressemble pas exactement à ce que l’on nous a appris à l’école !
NB : Si vous êtes familier avec l’anatomie du cœur autant que je l’étais avant d’écrire cet article, vous pouvez consulter dès maintenant cette infographie 😉 Elle tente d’illustrer les informations principales de cette section.
Le cœur rythme le flux sanguin en mouvement
Selon Branko Furst la circulation sanguine a sa propre dynamique. Elle évolue comme un système loin de l’équilibre, en interaction constante avec l’environnement capillaire. Ainsi, elle ne contredit pas la seconde loi de la thermodynamique. [14]
Le Dr Thomas Cowan [15] explique cette dynamique par un état particulier de l’eau présente dans le corps. Sorte de gel entre l’état solide et l’état liquide, ce 4e état de l’eau a été découvert par le chercheur Dr Gerald Pollack. Comment l’obtient-on ? En plongeant une surface hydrophile (qui a des affinités avec l’eau) dans l’eau ordinaire : on observe alors une zone d’eau structurée se former juste à côté. C’est ainsi que la gélatine par exemple, composée de 96% d’eau en volume, « se tient » naturellement.
Cette propriété de l’eau est capitale pour la vie biologique. L’eau structurée se forme à 4°C, ou à des températures supérieures en présence de protéines. Ainsi, l’eau est-elle majoritairement structurée dans les cellules du corps humain. Chargée négativement, l’eau structurée possède une haute viscosité, un pH différent de l’eau ordinaire, ainsi qu’une autre configuration moléculaire : H3O2 au lieu de H2O.
Si on roule une surface hydrophile à l’intérieur d’un tube, on obtient un tube hydraulique composé d’une couche d’eau structurée qui court tout du long. Sous l’influence de la lumière du soleil, et en particulier de la lumière infrarouge, les charges électriques se séparent instantanément et l’eau ordinaire – ou dans ce cas le sang – commence à circuler d’un bout à l’autre du tube sans interruption. C’est finalement la différence de potentiel électrique qui déclenche la circulation du sang.
S’insérant naturellement dans ce flux sanguin déjà en mouvement, la dynamique du cœur ressemble alors davantage à celle d’un bélier hydraulique qu’à celle d’une pompe. Ci-dessous les explications de Thomas Cowan :
Le cœur est un double vortex
Revenons un instant à la géométrie. La pointe du chestaèdre correspond à la pointe du ventricule gauche, appelée apex. Frank Chester a montré qu’elle s’insère parfaitement dans l’angle d’un cube lorsque le chestaèdre est orienté à 36° par rapport au centre. C’est précisément l’angle que forme le cœur entre le milieu et la gauche de la poitrine.
Cette orientation explique la forme asymétrique du cœur. L’artiste a en effet observé que si l’on fait tourner un chestaèdre à la verticale dans l’eau, cela génère un vortex stable, alors que s’il est incliné à 36°, une poche d’eau se forme à côté du premier vortex, qui rappelle la forme du ventricule droit et son attachement au ventricule gauche.
Ces deux vortex existent à l’intérieur du cœur, changeant la nature du flux sanguin. C’est ainsi que le flux sanguin laminaire qui arrive dans le ventricule droit se transforme en vortex. Tout comme celui qui revient des poumons vers le ventricule gauche. Et histoire de complexifier un peu plus les choses, souvenez-vous que le vortex du ventricule gauche est lui-même un double vortex… !
Les flux laminaires deviennent donc turbulents, composés de grands tourbillons qui se divisent en tourbillons plus petits, tels des fractales [16]. Quoi d’étonnant, alors, à ce que les bandes musculaires qui tapissent le cœur, les trabécules charnues, se déploient selon un schéma de ramification fractale qui aide à maintenir les performances cardiaques ? [17]
L’anatomiste James Bell Pettigrew a mené des dissections détaillées du cœur, pour découvrir qu’en de nombreux points de celui-ci, le nombre de strates de fibres musculaires varie de un (pour l’apex) à sept. Ce modèle explique pourquoi l’apex n’est jamais exposé aux dynamiques de hautes pressions, alors que le modèle de pompe ne l’explique pas.
Le cœur équilibre les polarités
« Le principe de rythme, implique la vérité que dans tout se manifeste un mouvement mesuré, un mouvement d’allée et venue, un flux et un reflux (…) Le rythme se manifeste entre les deux pôles dont le Principe de Polarité a montré l’existence (…) Il y a toujours une action et une réaction, une avance et une retraite, une élévation et un abaissement dans tous les phénomènes de l’univers. »
Nous avons vu que le chestaèdre s’insère précisément dans un cube s’il est orienté à 36°. D’après Frank Chester, cette orientation traduit l’équilibre parfait entre différentes polarités spatiales : le haut et le bas, la droite et la gauche, l’avant et l’arrière.
D’autres polarités sont actives dans le cœur humain, équilibrées par la forme et l’orientation du cœur à 36° dans la poitrine : la contraction et l’expansion, l’accélération et la décélération, les sens horaire et anti-horaire. Le mouvement entre ces polarités est la clé du système rythmique de l’être humain.
Résumé en infographie
Y avez-vous trouvé des indices qui laisseraient penser que l’on peut neutraliser le rythme ? Explorons à présent cette piste.
Neutraliser le rythme
Le point zéro
Le mouvement se définit par rapport à l’immobilité, point de référence qui permet de fixer la rotation. Il s’agit du point zéro, au centre de tous les doubles vortex qui constituent l’univers et par lequel passe toute information [18].
Le ventricule gauche du cœur est l’un de ces doubles vortex. Le sang y circule dans le sens horaire, puis tourbillonne sur lui-même pour émerger dans le sens opposé. Au moment où le flux sanguin s’inverse, il n’y a pas de mouvement, l’immobilité absolue règne. C’est le point qui équilibre les polarités.
Le principe de correspondance nous dit que toute fréquence attire une fréquence similaire. Ainsi, lorsque le balancier du pendule atteint une fréquence, il repart dans l’autre sens, attiré par la fréquence correspondante de l’autre côté. Sauf au point zéro. Au point zéro se trouve l’immobilité vibrant de vitalité qui résonne sur elle-même.
J’ouvre une petite parenthèse par rapport à l’expérience que j’ai vécue suite à une rupture d’anévrisme il y a quelques années. Mon mental s’est débranché, pour ainsi dire, me permettant d’accéder directement à mon cœur. Y ai-je fait une expérience du point zéro ? Je pourrais en effet interpréter les suites favorables de cet accident comme une neutralisation des effets dommageables qui auraient pu se produire.
La loi de la neutralisation
« Le rythme peut être neutralisé par une application correcte de l’art de la polarisation. »
L’art de la polarisation relève de la transmutation mentale. Celle-ci consiste à changer son niveau de vibration et ainsi modifier son état intérieur. La loi de la neutralisation permet d’atteindre un état particulier, un point de détachement que l’on peut assimiler au point zéro.
Rien ne peut échapper à l’emprise du principe de rythme sur le plan physique. Cependant, par la loi de la neutralisation, les initiés parviennent à réduire l’amplitude de l’oscillation du pendule. Voire à neutraliser son balancement rythmique qui tendrait à les emporter vers l’autre pôle. Ils atteignent le point zéro et parviennent à y rester, empruntant ainsi la véritable voie du milieu.
Tant que l’on ne maîtrise pas le rythme, on reste soumis à son incessante mécanique d’une justesse sans faille, celle des relations de cause à effet, sujet de notre prochain article.
Points clés
- Il existe une convergence entre la géométrie du cœur (le chestaèdre de Frank Chester) et son interaction avec l’univers (la théorie de l’univers connecté de Nassim Haramein) : la structure du vide se trouve au cœur du chestaèdre.
- Le cœur est un double vortex : il abrite le point zéro qui équilibre les polarités et peut neutraliser le principe de rythme.
- Le cœur n’est pas une pompe : sa fonction est de rythmer la circulation sanguine déjà en mouvement.
- La dynamique du cœur obéit aux 3 expressions fondamentales qui régissent l’univers : le cuboctaèdre, le tore et la spirale.
Notes & références
[1] Sauf indication contraire, toutes les citations proviennent du Kybalion.
Définir le rythme
[2] VALERY Paul, cité par le Dictionnaire des Genres et Notions littéraires, Ed. Encyclopaedia Universalis, 2015
[3] Pour plus d’informations sur le continuum vibratoire et la dynamique fractale, vous pouvez consulter la section consacrée dans l’article sur le principe de polarité.
[4] On parle d’année platonique liée à la précession des équinoxes.
[5] Le tracé complet revenant invariablement à son point de départ, le compas nous enseigne également que les extrêmes veulent dire la même chose.
Le cœur, l’être humain et l’univers
[6] STEINER Rudolph, Psychoanalysis and Spiritual Psychology, Hudson, NY : Anthroposophic Press, 1990, p. 126
[7] Vous pouvez voir toute la genèse de ses travaux, et bien plus encore, en parcourant son site frankchester.com
[8] Le tétraèdre est le plus petit volume géométrique possible par rapport à la surface qui le contient.
[9] La vidéo qui explique tout : Sacred geometry and chestahedron
[10] Pour plus de détails sur les relations entre ces géométries, vous pouvez consulter l’article Féminin, masculin, univers connecté.
L’expression du principe de rythme
[11] HARAMEIN Nassim, cité par International Space Federation FR
[12] ALEXENDER Walter, Branko Furst’s Radical Alternative : Is the heart moved by the blood, rather than vice versa ? P&T®, Vol.42 No.1, 2017, pp.33-39
[13] Une analogie avec la rotation dans l’univers qui provient de l’échelle quantique, voir l’article sur l’espace-temps.
[14] Je vous renvoie à l’article sur l’entropie et les structures dissipatives pour un petit cours sur le sujet.
[15] COWAN Thomas, Human heart, Cosmic heart, United States : Chelsea Green Publishing, 2016, pp.11-18
[16] A propos de flux laminaires et turbulents, vous pouvez explorer ce qui se passe dans un anévrisme.
[17] Voir cet article de Sciences et Avenir.
Neutraliser le rythme
[18] D’après la théorie de Nassim Haramein, les doubles vortex – ou trous noirs – sont organisés de manière fractale dans l’univers. Ils ont tous en commun le point zéro, la singularité qui permet le feedback d’information entre le vide et la matière.
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