De la communication
entre l'ombre & la lumière
22 DÉCEMBRE 2022 (mis à jour le 13 octobre 2023)
Table des matières
L’ombre et la lumière façonnent l’expérience de l’univers, et la nôtre ici-bas, depuis la nuit des temps. Cette simple expression – la nuit des temps – en dit long sur notre rapport à l’obscurité… ! Je vous invite dans cet article à repenser l’ombre et la lumière. Peut-être pourrions-nous en avoir une perception élargie ?
Nous avons commencé à explorer l’univers en tant qu’interaction synergique liant l’énergie et la conscience dans les deux articles précédents. Je poursuis ici cette exploration, tant du point de vue de la physique que de la métaphysique, avec un nouveau questionnement : quelle place l’ombre et la lumière occupent-elles dans cette synergie ?
Cela devrait nous conduire à questionner quelques fondements de la physique standard, comme les singularités, ou encore l’existence de la matière noire et de l’énergie noire.
Mais intéressons-nous tout d’abord aux notions d’ombre et de lumière…
Energie, ombre et lumière
Comme tout ce qui est manifesté dans l’univers, l’ombre et la lumière sont à la fois conscience et énergie. Ainsi la lumière de l’âme a-t-elle la même origine que la lumière physique. C’est sans doute d’ailleurs le point d’orgue de son mystère…
Le mystère de la lumière
L’unité de base de la lumière physique est le photon. Bien que les photons soient des quanta, ou « paquets » d’énergie élémentaires, la lumière est à la fois corpusculaire et ondulatoire, un autre de ses mystères… Les photons sont électriquement neutres et créent simplement de la lumière, sans agenda si l’on peut dire.
« Parmi les trillions de mystères du cosmos, le plus phénoménal est la lumière. A l’inverse des ondes sonores, dont la transmission demande de l’air ou un autre média matériel, les ondes lumineuses traversent librement le vide de l’espace interstellaire. Même l’éther hypothétique [1], considéré dans la théorie ondulatoire comme le médium interplanétaire de la lumière, peut être écarté sur la base Einsteinienne [qui veut] que les propriétés géométriques de l’espace [2] rendent la théorie de l’éther inutile. (…)
[Einstein] prouve de façon mathématique que la vitesse de la lumière est, dans la mesure ou l’esprit humain limité est concerné, la seule constante dans un univers de changement continuel et instable. Tous les standards humains d’espace et de temps dépendent uniquement du caractère absolu de la vitesse de la lumière. (…) Le temps a abandonné son ancien statut de valeur immuable et se présente au même rang que l’espace comme une dimension relative. (…) Par quelques équations, des traits de sa plume, Einstein a banni du cosmos toute réalité fixe autre que la lumière. »
Sur le plan physique, l’ombre et la lumière sont interdépendantes. Tel le yin et le yang, la lumière et l’obscurité se manifestent toujours l’une à l’intérieur de l’autre. Ainsi, la lumière entre et sort constamment de l’obscurité, tout comme l’obscurité entre et sort constamment de la lumière. Dit autrement, il n’existe pas de séparation entre les deux. Mais si la lumière est la seule réalité fixe, quelle est la nature de l’ombre ?
Des jeux d’ombre et de lumière
Sur le plan de la conscience, ou de la métaphysique, l’obscurité incarne simplement une énergie illimitée et des potentiels non-ouverts dans l’univers physique. En effet, si du point de vue de la conscience, tout est déjà réalisé, ce n’est pas le cas dans l’univers, car celui-ci devient graduellement conscient de lui-même.
L’univers est mental et le mental associe à l’ombre tout ce qu’il ne comprend pas, ne sait pas, ne veut pas savoir ou ne sait plus (le karma). Il a ainsi forgé une très mauvaise réputation à l’obscurité, et par là-même au Féminin [4] et à l’infini, hors de contrôle pour lui… Le mental perçoit continuellement l’ombre aux prises avec la lumière, dans un système de dualité où cette-dernière n’est clairement pas à son avantage. Pourtant, il est intéressant d’observer comment, au-delà du mental, la lumière se joue finalement toujours de l’ombre :
« Puisque les avatars sont libérés de tout karma et font un avec la lumière de Dieu, rien n’entrave le flot de lumière de passer à travers eux.
Ils ont cependant le pouvoir de garder leur conscience sur le plan terrestre en fonction de la mission que Dieu leur a assignée. C’est pourquoi un avatar projette une ombre en fonction de son degré d’implication dans la vie des hommes [et peut donc ne projeter aucune ombre du tout ni ne laisser d’empreinte sur le sol]. »
PARAMHANSA YOGANANDA [5]
Toujours est-il que la perception erronée du mental s’est répandue jusque dans les théories de physique. En effet, en l’absence d’une pensée métaphysique, la lumière n’y est présentée qu’à travers sa vitesse limitée, tandis que les allusions à l’obscurité sont de taille : matière noire, énergie noire, et au summum peut-être, les trous noirs…
Les trous noirs, un vide de lumière ?
Tels qu’ils sont envisagés par la physique standard, les trous noirs piègent la lumière.
Est-ce que vous mesurez la portée de cette affirmation ?
Nassim Haramein montre que l’univers lui-même est un trou noir. Heureusement qu’il en a une conception différente, sinon cela pourrait devenir un peu flippant ! Il parle également de la conscience, ce qui m’autorise une petite digression métaphysique :
La focalisation de la conscience active l’énergie. Celle-ci voyage en tant qu’ondes lumineuses au gré des désirs de l’âme et des désirs humains. Puis l’observateur la percevra comme des particules de matière constituant sa réalité. C’est la gravité qui maintient la réalité telle que nous la connaissons au sein du continuum temps-espace-énergie. Du moins jusqu’à ce que la focalisation de la conscience change et crée un nouveau centre de gravité.
Autrement dit, l’énergie est toujours en communication. Pour Nassim Haramein, elle circule aussi bien au sein des trous noirs que d’un trou noir à l’autre. Soit, selon sa théorie, dans tout l’univers. Elle entraîne dans son sillage l’ombre et la lumière pourrait-on ajouter.
Deux interprétations des trous noirs, pour deux interprétations de la gravité…
La gravité
Au niveau cosmologique, les équations de champ d’Einstein expriment la façon dont la matière et l’énergie modifient la géométrie de l’espace-temps. Einstein a écrit ces équations en 1915 sans toutefois les résoudre. Le premier à l’avoir fait, l’année suivante, est le physicien allemand Karl Schwarzschild. Il a décrit la géométrie de l’espace-temps lorsque celle-ci se trouve déformée – courbée – par le champ gravitationnel d’un objet sphérique sans rotation. Ce faisant, Schwarzschild a décrit un trou noir, le premier trou noir théorique.
Il a démontré l’existence du rayon dit de Schwarzschild, à partir duquel la masse du trou noir est tellement compacte qu’il faudrait qu’un objet se déplace plus vite que la vitesse de la lumière pour pouvoir échapper à son attraction gravitationnelle. Satisfaire à cette condition étant impossible, il en résulte que rien, a priori, ne peut s’échapper d’un trou noir, pas même la lumière.
Est-ce à dire que la lumière serait complètement piégée par l’obscurité dans certaines régions de l’espace ? Pas vraiment. Le physicien Gerard’t Hooft a montré en 1993 que toutes les informations contenues dans le volume d’un trou noir peuvent être exprimées en termes d’information sur son horizon des événements [6]. L’information y est alors conservée sous forme d’empreinte. C’est ce que Hooft a appelé le principe holographique, mettant ainsi en évidence le fait qu’aucune information n’est jamais perdue.
C’est également le point de vue de Nassim Haramein, pour qui les trous noirs échangent constamment de l’information les uns avec les autres. C’est même grâce à cet échange que se crée l’énergie, que l’on appelle la masse [7].
La masse du trou noir est concentrée en un point appelé singularité gravitationnelle.
Les singularités
L’astrophysicien Jean-Pierre Luminet explique qu’« une singularité [est] (…) une zone de l’espace-temps où (…) la courbure devient infinie. (…) Non seulement la courbure devient infinie, [mais] les paramètres physiques qui peuvent être associés, par exemple la densité de matière, la température, l’énergie etc., deviennent également infinis » [8].
Au-delà de cette définition, le véritable intérêt de la déclaration de Jean-Pierre Luminet réside dans le fait qu’elle rend compte avec une certaine honnêteté de l’attitude des physiciens envers les singularités :
« Il est clair que les physiciens détestent les singularités, tout simplement parce qu’elles échappent au champ de la physique (…) Il n’y a pas de singularités qu’en relativité générale, quasiment chaque théorie de physique à un moment a une singularité. Quand on regarde l’histoire des sciences, il y a eu des efforts considérables pour tenter d’éliminer les singularités en améliorant la théorie. A chaque fois qu’on améliore la théorie, il y des singularités imprévues qui apparaissent, un peu comme le Phoenix qui renait de ses cendres sous une autre forme (…).
C’est un statut assez mystérieux et assez fascinant que le statut des singularités. On a quand même plutôt tendance à penser aujourd’hui qu’une vraie bonne théorie de physique ne devrait pas avoir de singularité mais c’est peut-être le vœu pieux du physicien qui déteste qu’il puisse y avoir des régions de l’espace-temps totalement inaccessibles à son entendement et à sa description, ce qui serait le cas des vraies singularités. »
JEAN-PIERRE LUMINET [9]
Eliminer ou accepter les singularités ?
Revenons un instant à la gravité. Du point de vue métaphysique, il existe une gravité mentale, qui agglomère les pensées. Elle maintient ainsi la perception ou l’état émotionnel de l’observateur [10]. Cela rend généralement difficile nos tentatives de changements, nous laissant souvent englué dans les mêmes comportements.
Plus nous sommes capables d’aller loin au-delà de nos perceptions ordinaires, au-delà de notre mental, plus nous sommes en mesure d’atteindre un état hors norme, un état singulier. De là à penser qu’avant d’échapper au champ de la physique, une singularité échappe d’abord et avant tout au mental des physiciens… !
Si les singularités sont le signe que toute la lumière finit par être capturée et que seule subsiste l’obscurité, on peut légitimement être tenté de les éliminer. « On » pouvant être, au choix, le mental qui n’accepte pas ce qui le dépasse, ou l’âme, qui sait que sa lumière – au sens ici d’un élan de la conscience – brille quoi qu’en pense le mental. Dans le deuxième cas, il s’agira donc de revoir notre définition des singularités.
C’est ce qu’a fait Nassim Haramein. Il explique tout d’abord l’existence des singularités par la géométrie. D’une part, la structure du vide, en double tore possède un équilibre en son centre. Il en résulte une singularité depuis laquelle émerge l’univers physique. D’autre part, cette structure suit une loi fractale qui implique une complémentarité entre le fini (la matière) et l’infini (la singularité).
Aussi, autant existe-t-il une limite extérieure au-delà de laquelle on ne peut pas aller (l’horizon des événements), autant il n’y a pas de limites vers l’intérieur (l’infini de la singularité). Et la singularité devient soudain le chemin emprunté par la lumière [11]… C’est alors une toute autre histoire qui s’écrit.
Lumière sur l’énergie et la matière noires
Aujourd’hui, notre modèle standard de physique prédit seulement 4 à 5 % de la matière présente dans notre univers. Les 95% manquants sont, supposément, composés de matière noire et d’énergie noire. Est-ce à dire, de nouveau, que la lumière est majoritairement absente dans l’univers ? Examinons cela de plus près…
L’énergie noire est une forme d’énergie hypothétique remplissant uniformément tout l’univers et dotée d’une pression négative. Elle se comporte comme une force gravitationnelle répulsive et expliquerait notamment l’accélération de l’expansion de l’univers. La matière noire, quant à elle, ne remplit pas uniformément l’univers et interagit normalement avec la gravitation. Elle désigne une catégorie de matière supposée rendre compte d’observations astrophysiques, notamment les estimations de masse des galaxies et amas de galaxies.
Dans la théorie de Nassim Haramein il existe un lien entre l’énergie noire, la matière noire et les trous noirs : l’énergie du vide. Mais voyons d’abord comment tout cela a commencé…
D’où viennent l’énergie noire et la matière noire ?
Lorsque Karl Schwarzschild a résolu les équations de champ d’Einstein en 1916, il a décrit un trou noir sphérique statique. Il a fallu attendre 1965 et la solution des physiciens Roy Kerr et Ezra Newman pour que soit décrit un trou noir en rotation.
Bien que cette solution soit plus réaliste, elle n’est pas satisfaisante pour Nassim Haramein. En effet, comme elle est aussi beaucoup plus complexe, elle a été simplifiée par les deux physiciens, qui n’ont conservé que le moment angulaire de la rotation [12]. Autrement dit, ils ont éliminé « les effets gyroscopiques [13] (…), comme on élimine les couples et la force de Coriolis [14], et les effets comme la précession » [15] explique Nassim Haramein. Et selon lui, « c’est une petite astuce de la physique [qui] modifie vraiment les résultats. Vu que tout cela est enfoui sous d’énormes entrelacs de complexification que très peu de personnes sur cette planète sont en mesure de comprendre, personne ne s’en est encore aperçu. » [16]
Afin d’exclure les effets gyroscopiques de leurs calculs, Kerr et Newman ont attaché le cadre de référence – c’est-à-dire la référence utilisée pour décrire le mouvement du trou noir – au trou noir lui-même. Ainsi un observateur qui serait situé dans ce cadre de référence verrait sa relation avec le trou noir modifiée. En effet, il tournerait alors à la même vitesse que le trou noir et, par conséquent, ne sentirait aucune force s’exercer. Le problème est qu’en procédant ainsi, les physiciens ne peuvent plus prédire que 4,9% de la masse de l’univers… Ils doivent alors combler les 95,1% manquants par l’ajout des hypothétiques matière noire (à 26,8%) et énergie noire (à 68,3%).
Que cachent l’énergie noire et la matière noire ?
La solution de Nassim Haramein détache le cadre de référence du trou noir en rotation. Dès lors, « le couple de torsion et la force de Coriolis [sont] appliqués au système directement à partir de l’espace-temps » [17] indique le physicien qui a par là-même modifié les équations de champ d’Einstein. Ainsi, là où Einstein décrivait la courbure de l’espace-temps permettant de calculer l’attraction gravitationnelle, Nassim Haramein décrit la source même de la gravité, à l’origine de cette courbure.
La gravité réside finalement dans la rotation coordonnée des sphères de Planck – les plus petites oscillations du champ électromagnétique – qui constituent l’espace-temps. Celui-ci possède ainsi un tourbillon fondamental (spin), qui se déploie par différentiels successifs de densité allant respectivement de la valeur de la densité d’énergie du vide (1093 g/cm3) à la valeur de la constante cosmologique (10-29 g/cm3), entraînant la rotation de tous les objets dans l’univers.
En fait, Nassim Haramein a mathématiquement pris en compte dans ses équations l’énergie présente dans le vide de l’espace. Dès lors, l’énergie noire et la matière noire, ajoutées pour faire fonctionner les équations d’Einstein, ne sont plus nécessaires. Le physicien montre qu’il suffit d’étendre l’énergie du vide présente dans le volume d’un proton – si et seulement si celui-ci est un mini trou noir [18] – au rayon de l’univers pour que la densité d’énergie du vide de l’univers corresponde exactement à la constante cosmologique [19].
Selon lui, il n’y a que des trous noirs dans l’univers, liés par des trous de ver et une loi fractale, donnant finalement à la lumière la possibilité de circuler partout.
L’ombre et la lumière ne sont donc pas toujours là où elles semblent être. Elles sont à penser en relation avec la conscience, y compris dans le domaine de la physique !
Points clés
- La lumière de l’âme a la même origine que la lumière physique.
- La lumière entre et sort constamment de l’obscurité, tout comme l’obscurité entre et sort constamment de la lumière.
- Le mental a forgé une très mauvaise réputation à l’obscurité, qu’il a répandue jusque dans les théories de physique.
- Les trous noirs ne piègent pas la lumière, ils lui permettent au contraire de circuler via les singularités.
- L’énergie noire et la matière noire n’existent pas, seule existe l’énergie présente dans le vide de l’espace… et la conscience !
Notes & références
Energie, ombre et lumière
[1] Voir à ce sujet l’article L’unité, de l’éther à l’espace
[2] Sur les propriétés géométriques de l’espace, ce n’est pas Nassim Haramein qui dira le contraire !
[3] Paramhansa Yogananda, Autobiographie d’un yogi, Traduction de la première édition publiée en 1946, Québec : Les Editions Kriya Yoga de Babaji, 2015, p.256-257
[4] Les choses sont évidemment plus subtiles, vous pouvez consulter l’article sur le principe de genre pour en savoir plus.
[5] Paramhansa Yogananda, Autobiographie d’un yogi, op.cit., p.281
Les trous noirs, un vide de lumière
[6] L’horizon des évènements représente la frontière d’un trou noir à partir de laquelle la vitesse de libération atteint celle de la lumière.
[7] Pour en savoir plus, vous pouvez consulter l’article Gravité quantique et proton de Schwarzschild.
[8] LUMINET Jean-Pierre. (2002, novembre). L’Univers est-il infini ? In : La Recherche
[9] Ibid.
[10] Voir à ce sujet l’article pensées + émotions = mental ; Dans certaines circonstances, la gravité semble se relâcher et donner accès à une conscience élargie (lire Mon histoire). Voir également l’article La loi de l’attraction : gravité physique, gravité mentale.
[11] On peut également interpréter cela du point de vue de l’information, voir la section consacrée aux trous noirs.
Lumière sur l’énergie et la matière noire
[12] Le moment d’une force par rapport à un point donné est une grandeur physique vectorielle traduisant l’aptitude de cette force à faire tourner un système mécanique autour de ce point. Le moment cinétique joue dans le cas d’une rotation, un rôle analogue à celui de la quantité de mouvement pour une translation. D’après WIKIPEDIA. Moment d’une force (mécanique)
[13] Un gyroscope est un appareil qui exploite le principe de la conservation du moment angulaire en physique (ou effet gyroscopique). Cette loi fondamentale de la mécanique veut qu’en l’absence de couple appliqué à un solide en rotation, celui-ci conserve son axe de rotation invariable. Lorsqu’un couple est appliqué à l’appareil, il provoque une précession (un changement graduel d’orientation de l’axe de rotation). D’après WIKIPEDIA, Gyroscope
[14] La force de Coriolis est une force fictive agissant perpendiculairement à la direction du mouvement d’un corps en déplacement dans un milieu (un référentiel) lui-même en rotation uniforme, tel que vu par un observateur partageant le même référentiel. D’après WIKIPEDIA. Force de Coriolis
[15] HARAMEIN Nassim, L’Univers décodé ou la théorie de l’unification, Québec : Editions Louise Courteau, 2012, p.60-61
[16] Ibid.
[17] Ibid.
[18] Seul un très petit pourcentage (10-39 %) des oscillations du vide disponibles dans le volume d’un proton doit être en cohérence et converti en masse-énergie pour que le proton soit un trou noir, doté donc d’une singularité et laissant passer la lumière.
[19] Pour le détail, voir la section sur la théorie quantique des champs et la publication de la Resonance Science Foundation.
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