La loi de l'attraction :
Gravité physique, gravité mentale
7 AVRIL 2023 (mis à jour le 25 janvier 2024)
Table des matières
Comprendre la dynamique de la loi de l’attraction implique de dépasser l’usage superficiel de la pensée positive ou des mantras à répéter. Si ces pratiques peuvent avoir leur utilité, elles sont loin de suffire à expliquer la mise en œuvre de cette loi, et n’en garantissent pas davantage une utilisation correcte. Pour être efficace, c’est-à-dire nous permettre d’attirer ce que nous voulons – encore que l’on pourrait discuter de la pertinence d’attirer ce que nous voulons plutôt que ce qui est bon pour nous… – nous devons combiner plusieurs facteurs, à commencer par le fait de déterminer ce que nous voulons. Nous ne désirons pas tous la même chose, si positive soit elle.
Par ailleurs, lorsque l’on évoque la loi de l’attraction, la question de la croyance n’est en général jamais très loin. Cette question a en effet son importance… mais pas forcément de la manière dont on le croit ! En fait, il est aussi approprié de se demander si l’on croit à la loi de l’attraction que de se demander si l’on croit à la loi de la gravitation. Ces deux lois fonctionnent que l’on y croit ou non.
Cependant, autant il peut être immédiat de sentir les effets de la gravité – un marteau lâché accidentellement sur le pied fera l’affaire ! – autant il est possible de passer sa vie dans l’inconscience totale que la loi de l’attraction régit la façon dont les événements se manifestent dans notre expérience. C’est pourquoi on peut douter du fait qu’elle soit active depuis, au moins, notre naissance… pour le meilleur comme pour le pire.
L’objet de cet article et de celui qui va suivre est de comprendre la dynamique de la loi de l’attraction, pour ainsi augmenter le niveau de croyance en son bien-fondé et l’utiliser à notre avantage. C’est parti !
Sur quoi repose la Loi de l'attraction ?
Métaphysique et principes hermétiques
J’ai évoqué la loi de l’attraction au fil des articles sur les principes hermétiques. Je vais tenter ici de synthétiser et d’approfondir ces informations. Au fait, connaissez-vous la différence entre un principe et une loi ?
Un principe est incontournable, et s’applique partout, dans tous les cas. C’est une notion fondamentale à la base d’une science ou d’une technique. Une loi, quant à elle, modèle l’ordre du monde physique. S’il paraît donc sans espoir d’échapper à un principe, on pourrait cependant être tenté de devenir hors-la-loi… Est-ce possible ? Eh bien tout dépend de l’origine de la loi !
La loi de l’attraction, en l’occurrence, résulte de la combinaison des 7 principes hermétiques. Ils relèvent du domaine de la métaphysique, chacun d’eux explicitant une facette de cette loi, qui elle, est une loi physique. C’est d’ailleurs peut-être pour cette raison qu’elle ne fait pas partie à proprement parler de l’enseignement hermétique. Les auteurs du Kybalion parlent en effet de manière sibylline de « l’énergie de l’attraction », et n’évoquent la loi du même nom qu’en tant qu’aspect du principe de cause et d’effet. Et là, les choses sont on ne peut plus claires : « Il y a de nombreux plans de causalité, mais rien n’échappe à la Loi » [1].
Tout comme rien n’échappe à la loi de la gravitation dans l’univers… [2] De cette loi découle la gravité physique, à laquelle nous allons tout d’abord nous intéresser, car elle nous est directement accessible par l’expérience. Après quoi, nous explorerons la gravité mentale, les hermétistes nous enseignant avant toute chose que l’univers est mental. Cela constituera un terreau fertile pour comprendre la dynamique de la loi de l’attraction, abordée en tant que telle dans le prochain article.
Cosmologie et gravité
Théories de la gravitation
La loi de la gravitation – ou loi de l’attraction universelle des masses – publiée par Newton en 1687, établit que deux masses s’attirent. Plus la masse d’un corps est importante, plus la force d’attraction qu’elle exerce est grande. De même, plus des corps sont proches, plus la force d’attraction exercée entre eux est grande également. La loi de Newton permet de calculer la force qui s’exerce entre deux masses.
La gravité – la force qui nous retient sur Terre – est une conséquence de cette loi. Elle est donc liée à la masse, qui, pour faire simple, est une quantité de matière [3]. L’attraction entre deux corps s’exerce alors grâce au champ gravitationnel qu’ils ont créé autour d’eux du fait de leur propre masse, et équivaut localement à une accélération [4].
La théorie de la relativité générale, publiée par Einstein en 1915, est également une théorie de la gravitation. Elle permet de comprendre quelques effets restés inexpliqués par la Loi de Newton [5]. Selon Einstein, l’attraction gravitationnelle que l’on observe entre des masses résulte non pas d’une force que ces masses exercent l’une sur l’autre, mais d’une déformation de l’espace et du temps provoquée par ces masses.
Ainsi, les planètes ne tournent-elles pas autour du soleil, elles « tombent » vers le soleil dans un espace localement courbé par son champ gravitationnel. Un corps non massif comme la lumière verra quant à lui sa trajectoire déformée au voisinage d’une masse. En somme, tout semble se passer comme si une force d’attraction agissait, alors que les masses ne font que s’adapter à la déformation de l’espace-temps qu’elles-mêmes génèrent. Einstein nous enseigne également que la masse équivaut à l’énergie (E=mc²).
Notons que si Newton et Einstein décrivent tous deux la gravité, aucun ne l’explique réellement ni ne dit pourquoi il y a interaction [6].
La masse
Les objets les plus massifs de l’univers sont les trous noirs. Proportionnellement à leur masse, ils génèrent un champ gravitationnel si important que rien ne peut s’en échapper [7]. On dit qu’ils courbent l’espace et le temps jusqu’à une singularité gravitationnelle où toute mesure physique devient infinie.
Selon Nassim Haramein, l’univers n’est constitué que de trous noirs, dont il a cependant quelque peu redéfini le concept [8]. Pour calculer leur masse, il utilise une solution holographique – c’est-à-dire basée sur l’information – et trouve le même résultat aux équations d’Einstein que la solution standard. Pour les trous noirs de l’infiniment grand du moins. Pour ceux de l’infiniment petit comme le proton, la différence est énorme. Pourquoi ? Parce que la physique standard ne considère pas le proton comme un trou noir !
La masse holographique implique cependant que proton et trou noir ne fassent qu’un, et que le proton contienne de fait – en termes d’information – la masse de l’univers. Ou, dit autrement, que l’information de tous les protons présents dans l’univers soit contenue dans un proton trou noir.
Explication en images :
La masse holographique nous dit que que le Tout (l’univers) est dans la partie (le proton) et la partie dans le Tout. Au contraire de la masse standard, elle illustre ainsi le principe hermétique de correspondance, impliquant un échange d’information entre tous les trous noirs de l’univers.
Quel est le rapport avec la loi de l’attraction me direz-vous ? Grâce à une approche différente de la masse, nous allons comprendre cette loi, qui n’est autre que la loi de la gravitation dont le nom synonyme – loi universelle de l’attraction des masses – a été contracté…
Jusqu’ici, nous avons donc vu que la masse est une quantité de matière (Newton), une énergie (Einstein) et un échange d’information (Haramein). Explorons à présent une nouvelle piste…
Physique quantique, masse et vibration
En 1923, le physicien français Louis de Broglie établit une équivalence entre les deux formules relatives à l’énergie :
D’une part la formule d’Einstein (E = mc²),
qui établit un lien entre la masse et l’énergie
Et d’autre part la formule de Planck (E = hν),
qui établit une relation entre la fréquence et l’énergie [9]
Soit mc² = hν, ou encore m = νh/c²
(m est la masse, c la célérité de la lumière,
h la constante de Planck et ν (nu) la fréquence)
Selon ce physicien, une masse doit donc posséder une vibration. Partant de là, l’un de ses anciens élèves, Joël Sternheimer, docteur en physique théorique et musicien, s’est employé à traduire en fréquences musicales les masses des particules. Il s’est aperçu que celles-ci étaient réparties à intervalle régulier comme le sont les notes de musique dans la gamme tempérée [10]. Autrement dit, il existe une cohérence dans les masses.
La gamme tempérée a également la propriété d’être transposable à toutes les échelles. Par analogie, la cohérence des masses se retrouve de l’infiniment petit à l’infiniment grand grâce aux ondes d’échelles, concept introduit par Sternheimer et basé sur les vibrations si chères aux hermétistes [11].
Comment mieux expliquer cette cohérence que par la formule de la masse holographique donnée par Nassim Haramein ? Elle s’applique en effet aussi bien aux trous noirs qu’aux particules puisque dans sa théorie toutes les particules sont des trous noirs. Et non seulement toutes les particules sont des trous noirs mais l’univers n’est constitué que de trous noirs à différentes échelles !
Masse, matière, énergie, information, fréquence… toutes ces notions sont équivalentes. Et nous allons maintenant voir qu’il est possible d’ajouter les pensées à cette liste.
La gravité mentale
Les hermétistes enseignent que « le Tout est Esprit, l’Univers est Mental » [12]. Autrement dit, le Tout ne peut créer autrement que mentalement. Le principe de correspondance nous autorise à dire que l’homme crée des images mentales par un procédé identique à celui qui permet au Tout de créer mentalement l’univers [13].
C’est ainsi que du point de vue absolu du Tout, seul le Tout est réel, et l’univers est une illusion. Mais de notre point de vue – humain, mortel et relatif – l’univers est réel, vrai, et doit être considéré comme tel. Il est soumis à des lois inhérentes à son existence. Si ces lois sont de nature mentale, elles n’en sont pas moins implacables, nous contraignant à agir comme si les choses constamment changeantes étaient réelles et substantielles [14]. Ainsi sommes-nous par exemple soumis à la loi de la gravitation.
Toute la question est de savoir comment l’univers passe d’un état mental à un état tangible ? Ou, toujours en vertu du principe de correspondance, comment nos pensées créent-elles notre réalité ? Avant de répondre à cette question, essayons déjà d’être un peu plus au clair sur ce que l’on entend par réalité…
Une perception composite
Le cerveau comporte pas moins de 52 aires, dites aires de Brodmann, dont chacune a sa propre fonction. Notre perception de la réalité résulte d’une communication entre les neurones spécialisés dans telle ou telle fonction [15]. Ils mutualisent en quelque sorte leurs compétences pour produire ce que j’appellerais un composite de la réalité.
Un matériau composite est un assemblage de plusieurs composants dont les propriétés se complètent. Par effet synergique, le nouveau matériau constitué possèdera de nouvelles propriétés, plus avantageuses que celles appartenant aux composants pris séparément. Le composite de la réalité que nous percevons est créé à partir d’une multitude d’éléments qui ne sont pas nécessairement synchronisés entre eux.
Nous prenons le résultat pour acquis, sans même réaliser le rôle de la gravité dans cette histoire. Elle sert en fait d’agrégateur et assemble les éléments tels que l’énergie, la lumière, le temps, l’espace, la conscience en une très belle image créative. Un peu comme on crée une peinture sur une toile. A partir de là, le mental crée une histoire – et Dieu sait s’il est doué pour ça… ! – quelque chose qu’il peut définir, qui a du sens… ou pas… car en fonction de la qualité et de la quantité d’informations qu’il reçoit et interprète, il est tout à fait capable de faire des contresens [16].
La gravité maintient ainsi le composite de notre réalité en place… jusqu’à ce que l’on soit prêt à le libérer. L’élément déclencheur de ce processus est la prise de conscience, j’y reviendrai dans le prochain article. En attendant, poursuivons avec le rôle de la gravité.
Observation et focalisation de la conscience
La gravité est produite par la mise en mouvement de l’énergie par la conscience. La dimension du champ gravitationnel alors généré dans l’espace-temps dépend de la focalisation de la conscience sur tel ou tel composite. Elle est liée à l’observation. On pourrait résumer les choses ainsi : « Ce que je n’observe pas n’existe pas dans ma réalité. Quand j’observe une chose, elle occupe davantage de place dans le champ gravitationnel de ma conscience, qui modèle ma réalité. Plus l’observation est longue et intense, plus ma réalité se cristallise sur tel ou tel aspect ».
Nous émettons des pensées et des interprétations à partir de nos observations… sans nous rendre compte que nos pensées ont une très petite quantité de masse. Albert Einstein disait que « les pensées sont des choses » [17]. Ainsi, une pensée attire une pensée similaire, tout comme une masse en attire une autre. Nous avons dans notre champ gravitationnel beaucoup de pensées, croyances, peurs, émotions… si bien retenues par notre gravité mentale que l’on a parfois l’impression de ne pas pouvoir s’en libérer. D’autant qu’elles peuvent également être en lien avec nos vies « passées » [18]. Elles gravitent ainsi autour de nous.
En somme, le cerveau est comme un aimant avec une très grande force gravitationnelle. La conscience qui le traverse peut être plus ou moins mature. Mais même si un champ gravitationnel est généré par une conscience immature, il peut tout à fait perdurer si suffisamment d’observateurs le soutiennent. Ainsi, si suffisamment d’observateurs disent la même chose sur tel ou tel événement, son empreinte gravitationnelle sera plus importante (et généralement, le poids qu’on accordera à leur avis, légitimité, authenticité, véracité…) [19].
Une réalité sous influence
Les « Je » et le «Moi»
Sur le plan mental, les hermétistes parlent d’un double aspect de l’esprit en chaque individu : le « Je », qui correspond au principe Masculin, et le « Moi », qui correspond au principe Féminin. « Aucune création physique, mentale ou spirituelle n’est possible sans [le principe de genre] » [20] enseignent-ils. Le but du principe de genre est d’enfanter, sur n’importe quel plan de la vie phénoménale.
Le « Je » a la faculté de projeter un courant d’énergie vibratoire vers le « Moi » afin d’initier une création mentale particulière. Ainsi le principe Féminin tend-il constamment à recevoir les impressions que le principe Masculin lui envoie sans relâche. Le « Je » est aussi capable de rester spectateur des créations et des générations mentales du « Moi », qui « apparaît à la conscience comme doué du pouvoir latent de créer et d’engendrer une progéniture mentale de n’importe quelle nature » [21].
C’est grâce à l’énergie qu’il reçoit du « Je » que le « Moi » est capable de réaliser matériellement ses créations mentales. Mais si le « Moi » reçoit l’énergie du « Je » qui partage le même esprit que lui, il reçoit également l’énergie d’autres « Je » extérieurs à lui [22].
Phénomène d’induction
En effet, à défaut de connaître l’existence du principe de genre et d’en faire bon usage, nous aurons tendance, sans même nous en apercevoir, à faire nôtres les pensées et les idées envoyées vers notre « Moi » par le « Je » d’autres individus… Ces idées ainsi logées dans notre esprit se développeront et finiront par être considérées comme notre véritable fil mental. On parle d’induction mentale, phénomène naturel, basé sur le champ électromagnétique généré par le mental.
A moins d’avoir atteint l’état d’éveil, nous sommes tous potentiellement influençable par induction. A fortiori si nous ignorons l’existence de ce phénomène. Et d’autant plus si des êtres mal intentionnés le connaissent, en usent et en abusent… Quoi qu’il en soit, le meilleur moyen de se protéger des influences négatives est de créer et d’entretenir les plus hautes vibrations possibles. Car en effet, une vibration supérieure l’emporte toujours sur une vibration inférieure.
C’est la transmutation mentale qui nous permet de faire cela. Elle est décrite par les hermétistes comme étant l’application pratique du principe de vibration. Selon eux, en tant qu’être humain, nous pouvons non seulement produire des vibrations à volonté sur le plan mental, mais également polariser notre esprit et lui faire atteindre le degré de vibration désiré [23].
Moralité : la clé de toute cette histoire est bien la vibration, ou la fréquence des masses. Mais comment faire concrètement pour utiliser la loi de l’attraction à notre avantage ? C’est ce que nous allons explorer dans la suite de cet article.
Points clés
- La loi de la gravitation, également appelée Loi de l’attraction universelle des masses, s’exerce sur tous les objets ayant une masse.
- Les pensées possèdent une petite quantité de masse. C’est pourquoi la loi de la gravitation s’applique également au niveau mental.
- Des pensées similaires s’attirent, du fait de la résonance de leurs propres masses, énergies ou fréquences.
- « Fais attention à tes pensées, car elles deviendront des paroles. Fais attention à tes paroles, car elles deviendront des actes. Fais attention à tes actes, car ils deviendront des habitudes. Fais attention à tes habitudes, car elles deviendront ton caractère. Fais attention à ton caractère, car il est ton destin. » (Le Talmud)
Notes & références
Sur quoi repose la Loi de l’attraction ?
[1] Le Kybalion
[2] Même s’il existe une loi supérieure – la loi de l’élévation – qui permet aux oiseaux et aux avions de voler, celle-ci n’a d’existence que par rapport à la loi de la gravitation.
[3] A ne pas confondre avec le poids, qui est la force que la gravité applique sur cette masse.
[4] Voir le principe d’équivalence d’Einstein.
[5] Telles que des anomalies minimes sur l’orbite de certaines planètes.
[6] Nassim Haramein a sa petite idée sur la question, voir l’article sur la gravité quantique.
[7] La région d’où la lumière et la matière ne peuvent s’échapper est appelée « horizon des évènements ». On parle aussi de « surface » du trou noir, bien qu’il ne s’agisse pas d’une surface solide ou gazeuse. C’est une région de non-retour : une fois l’horizon des événements franchi, rien ne peut plus, théoriquement, s’en échapper. Le principe holographique nous apprend cependant que l’information contenue dans le volume d’un trou noir se trouve conservée sur sa surface.
[8] Selon lui, les trous noirs absorbent ET restituent de l’information. Ils sont reliés entre eux par une loi fractale. Voir la section consacrée dans l’article sur l’univers fractal et holographique.
[9] Cette formule exprime que chaque photon (particule de lumière) transporte un quantum d’énergie proportionnel à la fréquence de l’onde électromagnétique considérée.
[10] Cette gamme divise l’octave (intervalle qui sépare deux notes de même nom) en 12 parties égales.
[11] Pour en savoir plus, vous pouvez consulter l’article sur le principe de vibration.
La gravité mentale
[12] Voir l’article sur le principe de mentalisme.
[13] J’emploie volontairement le présent pour souligner que l’univers n’a pas été créé « une fois pour toutes », mais qu’il est en perpétuelle création, sa dynamique reposant sur le retour d’information. Voir à ce sujet l’article sur l’univers fractal et holographique.
[14] Les hermétistes parlent de divin paradoxe.
[15] Voir à ce sujet la conférence d’Idriss Aberkane, Le Cerveau excellent.
[16] Voir à ce propos l’article Sortir du mental
[17] Cette phrase est parfois attribuée à Edgar Cayce.
[18] Qui ne sont pas vraiment passées – ni même terminées – sinon elles n’auraient plus d’influence…
[19] On peut rapprocher ce raisonnement de ce qui se passe avec les systèmes chaotiques : si l’on alimente un système avec suffisamment d’énergie (ici suffisamment d’observations qui vont dans le même sens), il ne pourra faire autrement que de la manifester. Ce qui peut aussi s’énoncer de cette manière : La résonance d’un très grand nombre de petites causes produit de grands effets. Voir l’article sur les systèmes chaotiques pour en savoir plus.
[20] Le Kybalion, op.cit.
[21] Ibid.
[22] Pour en savoir plus, voir l’article sur le principe de genre.
[23] Voir l’article sur le principe de vibration.
Sur le même thème
2 commentaires à propos de “La loi de l’attraction : gravité physique, gravité mentale”
Bonjour Gaetana,
j’ai beaucoup lu et surtout écouté Jiddu Krishnamurti
je le trouve très intéressant, car éduqué à l’anglaise, il embrasse toutes les cultures, et s’est profondément penché sur la nature de nos perceptions
Didier
Bonsoir Didier,
En effet, il a un discernement très aiguisé !!