0 Partages

L’énergie est communication

Conscience et énergie 2/3

l-energie-est-communication

Dans le pre­mier article de cette série, nous avons com­men­cé à explo­rer les rela­tions entre la phy­sique (l’énergie) et la méta­phy­sique (la conscience). L’univers est une énergie-conscience, et plus pré­ci­sé­ment un phé­no­mène frac­tal et holo­gra­phique qui évo­lue grâce à une inter­ac­tion syner­gique de l’énergie et de la conscience.

L’énergie suit la conscience et la fait évo­luer parce que toutes les par­ti­cules com­mu­niquent entre elles. Dit autre­ment, l’énergie est com­mu­ni­ca­tion, et c’est le sujet de ce nou­vel article.

          

L’énergie est communication, la communication est énergie

L’énergie n’est pas la force

En 1687, dans son ouvrage Philosophiae natu­ra­lis prin­ci­pia mathe­ma­ti­ca, Isaac Newton a énon­cé les lois du mou­ve­ment. Il s’a­git des prin­cipes à la base de la méca­nique clas­sique, dont l’un des fon­de­ments est le concept de force. Une force modé­lise – grâce à un vec­teur ayant une direc­tion, un sens, une inten­si­té et un point d’application – une action méca­nique exer­cée par un objet (ou par­tie d’ob­jet) sur un autre objet (ou par­tie d’objet.) L’ensemble des forces appli­quées à un objet a pour effet de lui com­mu­ni­quer de l’énergie, sous la forme d’une accé­lé­ra­tion ou d’une déformation. 

Cette modé­li­sa­tion va de pair avec l’interprétation du fonc­tion­ne­ment de l’univers que l’on avait à l’époque. En 1915, la rela­ti­vi­té géné­rale d’Einstein a fait dis­pa­raître la notion d’action méca­nique. Depuis lors, la gra­vi­té, par exemple, est décrite comme une force qui courbe l’espace-temps.

Pour Nassim Haramein, les choses sont encore dif­fé­rentes. Toutes les forces – que l’on peut plu­tôt assi­mi­ler à des mani­fes­ta­tions de l’énergie – se retrouvent dans un état d’équilibre par­fait et abso­lu par inter­mit­tence (la moi­tié du temps). Cet état cor­res­pond à un point de réfé­rence appe­lé point 0. La notion d’équilibre est d’ailleurs inhé­rente à celle de force, puisque mesu­rer une force revient à déter­mi­ner l’effort néces­saire qu’il faut oppo­ser à cette force pour atteindre l’équilibre.

Mais qui dit équi­libre dit dés­équi­libre. Il existe en fait, selon ce phy­si­cien, un échange dyna­mique d’informations qui fait conti­nuel­le­ment oscil­ler les sys­tèmes entre ces deux états.

            

De la notion de force à la notion de communication


« L’existence de ce cos­mos intel­li­gent et ordon­né repose sur le fait que la struc­ture de la créa­tion est intri­quée et qu’elle com­mu­nique à tous les niveaux. Cette com­mu­ni­ca­tion ali­mente un échange dyna­mique d’informations (…) via une boucle de rétro­ac­tion qui per­met au sys­tème d’apprendre sur lui-même, d’évoluer et de deve­nir conscient de lui-même. »
[1]

 
Tout sys­tème repasse ryth­mi­que­ment [2] par le point 0, qui contient une quan­ti­té infi­nie d’énergie et un poten­tiel de conscience créa­tive infi­ni. Lorsqu’il n’est pas au point d’équilibre, le sys­tème se mani­feste dans une cer­taine forme. L’énergie alterne ain­si entre l’intérieur et l’extérieur, com­mu­ni­quant res­pec­ti­ve­ment des infor­ma­tions du point 0 au monde des formes, et réciproquement.

Cela se pro­duit grâce aux mou­ve­ments de contrac­tion et d’expansion de la géo­mé­trie du vide. Nassim Haramein nous dit que « le vide peut pos­sé­der d’infinies forces en lui, si elles sont en équi­libre [nous ne nous ren­drons] pas compte qu’il est là » [3]. Plus que des forces, le vide pos­sède une éner­gie infi­nie, l’énergie du point 0. En fin de compte, avec la conscience, seule l’éner­gie existe, par­tout et de manière égale. Nous inter­pré­tons sim­ple­ment la com­mu­ni­ca­tion de l’énergie comme la mani­fes­ta­tion d’une force.

Par exemple, selon ce phy­si­cien, la force forte n’existe pas en tant que telle. Il s’agit plu­tôt de la gra­vi­té qui agit au niveau quan­tique [4]. Bien qu’il consi­dère la gra­vi­té et l’électromagnétisme comme les deux seules forces qui existent dans l’univers, sa théo­rie peut aus­si être inter­pré­tée comme met­tant en œuvre un flux, une com­mu­ni­ca­tion entre le vide et la matière, via la gra­vi­té et l’électromagnétisme.

C’est la struc­ture en double tore du vide qui per­met cette com­mu­ni­ca­tion.
       

geometrie-du-vide

                

Géométrie et communication

La géo­mé­trie du vide est pour par­tie for­mée d’un cuboc­ta­èdre, aus­si appe­lé vec­teur d’équilibre par l’architecte et inven­teur Buckminster Fuller [5]. Le cuboc­ta­èdre repré­sente la phase d’équilibre à laquelle revient par alter­nance tout ce qui est mani­fes­té, tant au niveau phy­sique (éner­gie) que méta­phy­sique (conscience). 


« L’équilibre vec­to­riel est la véri­table réfé­rence 0 des mathé­ma­tiques éner­gé­tiques. La pul­sa­tion zéro de l’équilibre vec­to­riel est ce qui se rap­proche le plus de ce que nous connaî­trons jamais de l’éternité et de Dieu : la phase 0 de l’intégrité concep­tuelle inhé­rente aux asy­mé­tries posi­tives et néga­tives qui pro­pagent les dif­fé­ren­tiels de conscience. »
[6]


Dans le cuboc­ta­èdre, les vec­teurs sont tous de lon­gueurs et de rap­ports angu­laires égaux (60°). C’est la rai­son pour laquelle il est pos­sible d’étendre ce réseau d’équilibre à l’infini vers l’extérieur à par­tir du point cen­tral du vec­teur d’équilibre. On obtient alors une matrice vec­to­rielle iso­trope. L’ensemble de cette matrice repré­sente la géo­mé­trie en équi­libre par­fait, pré­sente à toutes les échelles, dont chaque point devient le point cen­tral poten­tiel d’un vec­teur d’équilibre. Une condi­tion de fluc­tua­tion dyna­mique peut ain­si se mani­fes­ter autour de chaque point.

Ce que nous appe­lons les « formes géo­mé­triques » ne sont fina­le­ment que des « évé­ne­ments éner­gé­tiques ». Elles s’articulent en réseaux géo­mé­triques lorsque des vec­teurs d’énergie se croisent et entrent en réso­nance. Ainsi, toute forme est-elle sim­ple­ment l’interaction d’événements énergétiques.

                  

Des systèmes en communication et en synergie


« Bien que le modèle d’un monde méca­nique soit incom­plet, il n’est pas tota­le­ment incor­rect. Un sys­tème est com­po­sé de sous-parties, qui inter­agissent les unes avec les autres, et génèrent la dyna­mique que nous obser­vons. Cependant, la nature des échanges entre ces sous-parties n’est pas néces­sai­re­ment limi­tée au sys­tème dans lequel elles sont obser­vées ou auquel nous les associons. 

Aucun sys­tème tota­le­ment iso­lé n’a jamais été trou­vé dans la nature (mal­gré cela, la plu­part des lois fon­da­men­tales de la phy­sique sont basées sur de tels sys­tèmes). De plus, les rela­tions dyna­miques entre toutes ces sous-parties génèrent un effet syner­gique (…) dans lequel le com­por­te­ment du sys­tème dans son entiè­re­té est plus grand que la somme des sous-parties, et est impré­vi­sible à par­tir du com­por­te­ment de celles-ci. » [7]

 

Selon Nassim Haramein, l’énergie naît de l’échange d’information dans l’univers, qui se pro­duit à toutes les échelles. Mais c’est sans doute l’échelle quan­tique qui nous per­met le mieux de com­prendre l’énergie. Parce qu’à cette échelle, les par­ti­cules n’ont pas d’existence intrin­sèque : leur exis­tence dépend de leur rela­tion [8].

A notre échelle et à celle de l’u­ni­vers, cette pro­prié­té est illus­trée par les struc­tures dis­si­pa­tives. Ces sys­tèmes ouverts sont en com­mu­ni­ca­tion per­ma­nente, échan­geant de l’énergie avec leur envi­ron­ne­ment, qui devient alors pour elles source de cohé­rence et d’auto-organisation. Toutefois, le prix à payer pour géné­rer cette éner­gie utile est une dépense d’énergie non-qualitative (l’entro­pie) en grande quantité.

Contrairement aux sys­tèmes chao­tiques, qui dépendent seule­ment de condi­tions ini­tiales, les struc­tures dis­si­pa­tives sont condi­tion­nées par des fluc­tua­tions conti­nues qui agissent en syner­gie [9].

Mais com­ment les sys­tèmes ouverts communiquent-ils ? C’est ce que nous allons décou­vrir à présent.

                  

Toutes les particules communiquent entre elles

intrication-quantique-er-epr


Il existe en phy­sique une éga­li­té met­tant en rela­tion l’intrication de deux par­ti­cules (ER) et les rac­cour­cis spatio-temporels, ou trous de vers (EPR). Cette rela­tion, ain­si don­née par l’égalité ER = EPR signi­fie, pour le dire sim­ple­ment, que deux par­ti­cules peuvent com­mu­ni­quer entre elles sans condi­tion de temps ou de dis­tance [10].

Pour Nassim Haramein, cette éga­li­té ne s’applique pas seule­ment à deux par­ti­cules mais à l’ensemble des par­ti­cules de l’u­ni­vers. Il en est arri­vé à cette conclu­sion après avoir démon­tré la nature à la fois frac­tale et holo­gra­phique de l’univers. Les frac­tales per­mettent en effet à toutes les échelles d’être en com­mu­ni­ca­tion par retour d’information. Dans le même temps, chaque par­ti­cule pos­sé­dant l’information de toutes les autres grâce à l’holographie, tout chan­ge­ment d’information est ins­tan­ta­né­ment com­mu­ni­qué d’une par­ti­cule à l’autre [11].

                

L’énergie procède d’un échange d’information

En décou­vrant que le vide pos­sède une struc­ture en double tore, Nassim Haramein a en fait redé­fi­ni les trous noirs. Selon lui, loin d’être des struc­tures qui absorbent tout, les trous noirs échangent de l’information. Ils sont com­po­sés essen­tiel­le­ment de vide et donc d’une struc­ture en double tore. L’échange d’information se fait entre leur volume et leur sur­face. C’est cet échange qui crée l’éner­gie (que l’on appelle la masse).

Selon lui, l’univers n’est com­po­sé que de trous noirs à dif­fé­rentes échelles, reliés par une loi frac­tale. Toutes les par­ti­cules sont par consé­quent des trous noirs, comme par exemple le pro­ton. Il existe actuel­le­ment deux valeurs pour la masse du pro­ton, la valeur stan­dard et la valeur qu’il a lui-même cal­cu­lée. Il est inté­res­sant de noter que la dif­fé­rence entre les deux valeurs s’explique par la manière d’envisager l’échange – ou pas – d’information.

Ainsi, le cadre de réfé­rence pour le cal­cul de la masse du pro­ton stan­dard est l’observateur, ce qui revient à consi­dé­rer le pro­ton comme sépa­ré des autres pro­tons. Tandis que le cadre de réfé­rence pour le pro­ton trou noir est l’univers, ce qui revient à consi­dé­rer le pro­ton en com­mu­ni­ca­tion avec tous les autres pro­tons pré­sents dans l’univers.

Dans le pre­mier cas, tout se passe alors comme si on pre­nait en consi­dé­ra­tion l’information pré­sente uni­que­ment à la sur­face du pro­ton. Contrairement au deuxième cas, où l’on prend éga­le­ment en consi­dé­ra­tion l’information pré­sente dans son volume, et donc l’énergie du vide qu’il contient. C’est la base de cal­cul de la masse holo­gra­phique – qui sous-entend que tout com­mu­nique tout le temps avec tout – et qui peut d’ailleurs s’appliquer à n’importe quel trou noir [12].

             
vide-information-gravite-quantique

                 

Flux d’énergie Vs mouvement

Rotation Vs frottements

Les équa­tions de champ d’Einstein décrivent la gra­vi­té comme une force qui courbe l’espace-temps. Cependant, elles ne disent rien sur la source de la gra­vi­té. En modi­fiant ces équa­tions, Nassim Haramein est par­ve­nu à expli­quer que la gra­vi­té pro­vient de la rota­tion coor­don­née des sphères de Planck consti­tu­tives de l’espace-temps au niveau quan­tique. Dans son modèle, l’espace-temps pos­sède en effet un tour­billon fon­da­men­tal (spin), qui se déploie sui­vant un gra­dient de den­si­té allant des plus petites aux plus grandes échelles. C’est cette cas­cade de tour­billons qui explique la rota­tion de tous les objets dans l’univers [13].

Notre phy­sique stan­dard repose sur l’hypothèse fon­da­men­tale sui­vante : tout tourne dans un envi­ron­ne­ment sans frot­te­ment depuis le Big Bang. Le spin étant ain­si inhé­rent au Big Bang, nous n’avons donc théo­ri­que­ment pas à en tenir compte dans les équa­tions. Sauf que…

« Tout d’abord, cela ne [nous] dit pas d’où vient l’énergie qui a géné­ré [le] moment d’impulsion [du Big Bang]. Et ensuite, il s’agit d’une géné­ra­li­sa­tion très très large, car ce que [l’on] observe autour de [nous] ne res­semble pas vrai­ment à un envi­ron­ne­ment sans frottement ! 

C’est la même chose au niveau quan­tique : les élec­trons tournent per­pé­tuel­le­ment depuis le Big Bang à la vitesse de la lumière. Ils ne se sont jamais arrê­tés. Cela fait beau­coup de spin, depuis très très très long­temps ! Ce serait vrai s’il n’y avait qu’un atome dans l’univers mais dès lors qu’il y a ne serait-ce que deux atomes, il y a des fric­tions, des col­li­sions, toute sorte de chose comme des champs gra­vi­ta­tion­nels ayant une influence l’un sur l’autre. Rien qui res­semble à un envi­ron­ne­ment sans frot­te­ment. » [14]


Dans sa théo­rie, le phy­si­cien ne néglige pas les forces de frot­te­ments, mais montre que les forces de rota­tion les surpassent.

               

Mais sans espace, quid du mouvement ?

Ainsi, si les choses semblent tour­ner dans un envi­ron­ne­ment sans frot­te­ment, ce n’est qu’une apparence.

Mais le simple fait qu’elles soient en mou­ve­ment n’est-il pas déjà une apparence ?

double-tore-faceNous avons vu en effet dans l’article pré­cé­dent que l’espace n’est rien d’autre que de l’énergie. Que devient alors le mou­ve­ment sans espace ? Si l’on reprend le modèle du double tore de Nassim Haramein, on voit un mou­ve­ment dans cette boucle, mais pas de dépla­ce­ment d’un point A à un point B. On pour­rait dire qu’il y a une sorte de flux ou d’expansion dyna­mique, mais rien qui se déplace réel­le­ment. Rien ne va nulle part, nous en par­ti­cu­lier. Nous ne nous dépla­çons pas à tra­vers le temps et l’espace. Au contraire, c’est le temps et l’espace qui se déplacent à tra­vers nous. Mieux, nous sommes sim­ple­ment dans cette boucle infi­nie avec nos expé­riences de vie, indé­pen­dam­ment du temps et de l’espace.

Fondamentalement, la per­cep­tion du mou­ve­ment pro­cède en réa­li­té d’une espèce de somme de nom­breux moments et évé­ne­ments qui se pro­duisent dans le moment Présent. Ainsi, au lieu de pen­ser qu’une flèche doit mettre un cer­tain temps pour par­cou­rir une dis­tance entre le tireur et la cible, il vaut mieux pen­ser en termes d’événements : chaque obser­va­tion de cette flèche sur son che­min devient un évé­ne­ment. Dès l’instant où nous obser­vons cette flèche à un cer­tain point de sa tra­jec­toire, cela devient un évé­ne­ment. En fait, elle ne bouge pas, c’est juste la nature de l’événement qui change. Un peu comme les pixels qui s’allument, s’éteignent et donnent une impres­sion de mou­ve­ment sur un écran de télé­vi­sion immo­bile [15].

Dans le pro­chain article, nous conti­nue­rons à par­ler de l’énergie, en lien avec la méta­phy­sique, l’ombre et la lumière…

             


Points-clés

  • L’univers est un phé­no­mène frac­tal et holo­gra­phique qui évo­lue grâce à une inter­ac­tion syner­gique de l’énergie et de la conscience.

  • L’univers ne repose pas sur des forces mais sur des échanges dyna­miques d’informations, qui font conti­nuel­le­ment oscil­ler les sys­tèmes entre un état d’é­qui­libre et un état de déséquilibre.

  • Toutes les par­ti­cules dans l’u­ni­vers créent l’éner­gie en échan­geant de l’in­for­ma­tion grâce à leur struc­ture en double tore. L’énergie est communication.

  • La struc­ture du double tore sous-tend un flux d’éner­gie dans lequel rien ne se déplace réel­le­ment. La per­cep­tion du mou­ve­ment pro­cède plu­tôt d’une suc­ces­sion d’é­vé­ne­ments énergétiques.

 

                

                     

                    



Notes et références


[1] HARAMEIN Nassim, cité par la Resonance Science Foundation – Français
[2] Voir éga­le­ment l’article sur le prin­cipe de rythme
[3] HARAMEIN Nassim, Nassim Haramein at Rogue Valley Metaphysical Library (1) [vidéo]. Traduction dis­po­nible ici.
[4] Pour en savoir plus, vous pou­vez consul­ter l’article Gravité quan­tique et pro­ton de Schwarzschild.
[5] Buckminster Fuller (1895 – 1983) a publié plus de trente livres, inven­tant ou popu­la­ri­sant des termes tels que « syner­gé­tique ». Il a éga­le­ment mis au point de nom­breuses inven­tions, prin­ci­pa­le­ment dans le domaine de la concep­tion archi­tec­tu­rale, la plus connue res­tant le dôme géo­dé­sique. Source : Wikipédia
[6] FULLER Buckminster, Synergetics, sec­tion 440.01
[7] HARAMEIN Nassim, cité par la Resonance Science Foundation – Français, op.cit.
[8] Voir à ce sujet l’article Réalité et phy­sique quan­tique.
[9] Pour com­prendre ce méca­nisme, voir l’article sur l’effet papillon : du chaos à l’interdépendance.
[10] Pour en savoir plus, voir l’article indé­ter­mi­nisme et intri­ca­tion.
[11] Pour en savoir plus sur la nature holo­frac­to­gra­phique de l’univers, voir l’article sur l’univers frac­tal et holo­gra­phique.
[12] Pour en savoir plus, voir l’article sur la gra­vi­té quan­tique et le pro­ton de Schwarzschild.
[13] Pour en savoir plus, voir l’article Qu’est-ce que l’espace-temps ?
[14] HARAMEIN Nassim. (2013, 25 sep­tembre). Nassim Haramein Complete [Podcast], tra­duc­tion libre
[15] Voir éga­le­ment l’article Mouvement et per­cep­tion.

 




Laisser un commentaire

Votre adresse e‑mail ne sera pas publiée. Les champs obli­ga­toires sont indi­qués avec *

©2018–2023 Ma vie quan­tique Tous droits réservés
0 Partages
Tweetez
Partagez
Partagez