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Connexion sacrée (diaporama)

Cet article pro­pose une libre adap­ta­tion de la théo­rie du champ uni­fié. De mon point de vue, on peut envi­sa­ger cette théo­rie sous l’angle du Féminin sacré et du Masculin sacré. Comme une inter­pré­ta­tion plus méta­phy­sique des deux seules forces à l’œuvre dans l’u­ni­vers à tous les niveaux : la gra­vi­té et l’électromagnétisme.

Le dia­po­ra­ma ci-dessous raconte ain­si une autre his­toire de l’u­ni­vers, dans les grandes lignes. Un texte plus com­plet est repris sous l’animation. 

Bon voyage !

A l’échelle quantique,l’espace est une mer dyna­mique dans laquelle chaque point pos­sède une éner­gie infinie.
De l’autre côté du miroir
Nous ne per­ce­vons pas cette éner­gie parce que nous n’avons pas une expé­rience directe de l’infiniment petit. L’espace tel que nous le per­ce­vons à notre échelle et à celle de l’univers semble lisse et vide.
Eternel Féminin
La géo­mé­trie du Principe Féminin Sacré est celle du cuboc­ta­èdre. C’est le seul solide géo­mé­trique dont tous les vec­teurs sont égaux. Il est en équi­libre parfait.
Equilibre
Le Principe Masculin Sacré génère des limites, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Chaque dimen­sion créée illustre, à des échelles dif­fé­rentes, com­ment le fini contient l’infini.
Il Limité
Le Principe Masculin Sacré per­met aux formes d’exister, ren­dant pos­sible l’expérience dans la matière.
Masculin ini­tié
La géo­mé­trie du Principe Masculin Sacré est celle de l’étoile tétra­édrique. Cette struc­ture géo­mé­trique n’a pas de centre. Cependant, elle contient la géo­mé­trie du cuboc­ta­èdre, qui elle est centrée.
Expression
De l’infiniment petit à l’infiniment grand, toute forme est mani­fes­tée dans la matière à par­tir du cuboc­ta­èdre et de l’é­toile tétra­édrique. Ceux-ci ne peuvent exis­ter qu’ensemble, en tant que struc­ture com­po­sée de 64 tétraèdres.
Le vide
64 tétra­èdres sont for­més par la com­bi­nai­son du cuboc­ta­èdre et de l’étoile tétra­édrique. Chacun de ces tétra­èdres s’inscrit par­fai­te­ment dans une sphère.
Sphères célestes
Transposé en deux dimen­sions, le motif obte­nu par ces sphères qui s’interpénètrent est celui de la fleur de vie. Ainsi, la fleur de vie repré­sente l’équilibre entre le Féminin Sacré et le Masculin Sacré.
Fleur de vie
Chaque struc­ture – cuboc­ta­èdre et étoile tétra­édrique – gran­dit grâce à l’autre, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Comme une danse frac­tale du Féminin et du Masculin Sacrés.
Poussière d’é­toiles
Tout est mou­ve­ment. Tout mou­ve­ment a un mou­ve­ment réci­proque simul­ta­né. Ce double mou­ve­ment repose sur les deux seules forces à l’œuvre dans l’univers : la force gra­vi­ta­tion­nelle et la force électromagnétique.
Sagesse d’une floraison
Un cyclone est une masse en rota­tion for­mée par une dif­fé­rence de pres­sion entre deux masses d’air. De la même manière, il existe dif­fé­rents degrés de den­si­té répar­tis de l’infiniment petit à l’infiniment grand.
Passion
Toute forme est créée dans la matière, dis­soute dans le vide, recréée, dis­soute à nou­veau, etc. conti­nuel­le­ment, à la vitesse de la lumière.
A la table des anges
Le cœur incarne la sin­gu­la­ri­té gra­vi­ta­tion­nelle de la bio­lo­gie : c’est par le cœur que nous accé­dons au champ d’in­for­ma­tion du vide quan­tique. Ainsi, le cœur a tou­jours accès à l’in­for­ma­tion avant n’im­porte quel autre organe du corps, le cer­veau y compris.
Le cœur du cœur
Diapositive pré­cé­dente
Diapositive sui­vante

Le principe féminin sacré

Le Principe Féminin Sacré crée toute forme depuis l’infiniment petit, à par­tir d’une sin­gu­la­ri­té (un point au poten­tiel infi­ni). Jusqu’à l’infiniment grand, toute forme reste en lien avec ce point. Il devient son centre, immo­bile au cœur du mou­ve­ment.

 

autre-cote-miroir

 

A l’échelle quan­tique, l’espace est une mer dyna­mique dans laquelle chaque point pos­sède une éner­gie infi­nie.

 

 

 

feminin-eternel

 

Nous ne per­ce­vons pas cette éner­gie parce que nous n’avons pas une expé­rience directe de l’infiniment petit. L’espace tel que nous le per­ce­vons à notre échelle et à celle de l’univers semble lisse et vide.

 

 

cuboctaedre
La géo­mé­trie du Principe Féminin Sacré est celle du cuboc­ta­èdre. C’est le seul solide géo­mé­trique dont tous les vec­teurs sont égaux. Il est en équi­libre par­fait. Douze vec­teurs partent des som­mets et convergent vers un 13ème point, la sin­gu­la­ri­té au centre de la structure.

 

Celle-ci est l’essence du Principe Féminin Sacré : l’infini. Le nombre 13 repré­sente éga­le­ment le Féminin Sacré dans la matière.

En 2 dimen­sions, le cuboc­ta­èdre appa­raît comme un hexa­gone. En 3D, on peut le voir comme 4 hexa­gones qui s’entrecroisent.

 

Le principe masculin sacré

 

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Le Principe Masculin Sacré génère des limites, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Chaque dimen­sion créée illustre, à des échelles dif­fé­rentes, com­ment le fini contient l’infini.

 

 

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Le Principe Masculin Sacré per­met aux formes d’exister, ren­dant pos­sible l’expérience dans la matière.

 

 

 

etoile-tetraedrique

 

La géo­mé­trie du Principe Masculin Sacré est celle de l’étoile tétra­édrique [1]. Cette struc­ture géo­mé­trique n’a pas de centre. Cependant, elle contient la géo­mé­trie du cuboc­ta­èdre, qui elle est centrée.

 

Le cuboc­ta­èdre est aus­si invi­sible sur cette repré­sen­ta­tion que l’est le Féminin Sacré à nos yeux. Pourtant, aus­si invi­sible soit-il, le Féminin Sacré centre le Masculin Sacré. Et seul le Masculin Sacré per­met au Féminin Sacré de se mani­fes­ter dans la matière.

 

Quand le féminin rencontre le masculin

cuboctaedreetoile-tetraedrique

Les struc­tures du Féminin Sacré et du Masculin Sacré sont com­plé­men­taires. Le cuboc­ta­èdre est for­mé de 8 tétra­èdres poin­tant vers l’intérieur. Tandis que l‘étoile tétra­édrique est for­mée de 8 tétra­èdres poin­tant vers l’extérieur.

 

geometrie-du-vide

De l’infiniment petit à l’infiniment grand, toute forme est mani­fes­tée dans la matière à par­tir du cuboc­ta­èdre et de l’é­toile tétra­édrique. Ceux-ci ne peuvent exis­ter qu’ensemble, en tant que struc­ture com­po­sée de 64 tétra­èdres. Ils défi­nissent la géo­mé­trie du vide, qui contient une éner­gie infi­nie, à la source de toute créa­tion. Cette géo­mé­trie s’ins­crit par­fai­te­ment dans une sphère, la forme la plus mani­fes­tée dans la nature.

On peut voir la géo­mé­trie du vide comme l’assem­blage de 8 étoiles tétra­édriques, for­mant un cuboc­ta­èdre – invi­sible ici – au centre de la structure.

 

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64 tétra­èdres sont for­més par la com­bi­nai­son du cuboc­ta­èdre et de l’étoile tétra­édrique. Chacun de ces tétra­èdres s’inscrit par­fai­te­ment dans une sphère [2]. L’ensemble de ces sphères forme un cube – le cube de Métatron – qui réunit les 5 solides de Platon.

 

La fleur de vie

 

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Transposé en deux dimen­sions, le motif obte­nu par ces sphères qui s’interpénètrent est celui de la fleur de vie. Ainsi, la fleur de vie repré­sente l’équi­libre entre le Féminin Sacré et le Masculin Sacré, entre l’infini et le fini.

Toute créa­tion émerge et se mani­feste à par­tir du champ for­mé par la fleur de vie, et toute créa­tion y retourne. Dans sa repré­sen­ta­tion cou­rante, la fleur de vie est consti­tuée de 19 cercles, bien que la géo­mé­trie du vide en compte 37.

La trans­po­si­tion en deux dimen­sions des sphères qui forment la géo­mé­trie du vide est plus qu’une simple repré­sen­ta­tion en deux dimen­sions. La fleur de vie illustre le prin­cipe phy­sique connu sous le nom de prin­cipe holo­gra­phique.

Notre uni­vers est holo­gra­phique, il se construit et se déploie phy­si­que­ment dans l’illu­sion d’une sépa­ra­tion au cœur de laquelle règne l’unité.

 

La danse fractale

 

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Chaque struc­ture – cuboc­ta­èdre et étoile tétra­édrique – gran­dit grâce à l’autre, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Comme une danse frac­tale du Féminin et du Masculin Sacrés, dans laquelle l’ensemble du motif se répète à l’infini à toutes les échelles.

Chaque divi­sion frac­tale mani­feste la matière à un niveau dif­fé­rent. L’être humain est la mani­fes­ta­tion phy­sique qui se trouve à mi-chemin entre l’infiniment petit et l’infiniment grand.

 

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Tout est mou­ve­ment. Tout mou­ve­ment a un mou­ve­ment réci­proque simul­ta­né. Ce double mou­ve­ment repose sur les deux seules forces à l’œuvre dans l’univers : la force gra­vi­ta­tion­nelle et la force électromagnétique.

Le cuboc­ta­èdre est la struc­ture à tra­vers laquelle agit la force gra­vi­ta­tion­nelle en géné­rant un mou­ve­ment de contrac­tion. L’étoile tétra­édrique est la struc­ture à tra­vers laquelle agit la force élec­tro­ma­gné­tique en géné­rant un mou­ve­ment d’expansion.

Ainsi, la dyna­mique de la struc­ture du vide, pré­sente en toute chose, est un échange simul­ta­né entre ces deux mou­ve­ments. L’information échan­gée se trans­met de proche en proche par ces mou­ve­ments qui gran­dissent de manière frac­tale, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Au centre, tous les mou­ve­ments s’annulent : c’est l’immobilité, la sin­gu­la­ri­té depuis laquelle nous obser­vons l’Univers.

 

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Un cyclone est une masse en rota­tion for­mée par une dif­fé­rence de pres­sion entre deux masses d’air. De la même manière, il existe dif­fé­rents degrés de den­si­té de l’infiniment petit à l’infiniment grand. C’est ce gra­dient de den­si­té qui explique le mou­ve­ment de rota­tion de toute chose dans l’univers. Telle la danse sacrée du Féminin et du Masculin.

 

Vide et manifestation, une grande histoire d’amour

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Toute étoile est un trou noir.
Un trou noir est créé par la danse du Féminin Sacré et du Masculin Sacré. Son mou­ve­ment véri­table – mais non appa­rent – oscille de la sin­gu­la­ri­té à la mani­fes­ta­tion phy­sique de l’étoile telle que nous la voyons, puis de la mani­fes­ta­tion à la sin­gu­la­ri­té, et ain­si de suite.

Ce mou­ve­ment entre la force gra­vi­ta­tion­nelle et la force élec­tro­ma­gné­tique est si rapide – il a lieu à la vitesse de la lumière – que nos sens n’en per­çoivent que la mani­fes­ta­tion phy­sique (pour en savoir plus lire l’ar­ticle Mouvement et per­cep­tion).

Toute étoile est un trou noir comme tout ce qui est mani­fes­té dans l’Univers, de l’infiniment petit à l’univers lui-même.

 

table-des-anges

« Les fleurs du prin­temps sont les rêves de l’hiver,
racon­tés le matin à la table des anges. »
(Khalil Gibran)

 

Toute forme est créée dans la matière, dis­soute dans le vide, recréée, dis­soute à nou­veau, etc. Et ce, conti­nuel­le­ment, à la vitesse de la lumière. Ainsi, le retour d’information entre la matière et le vide est tel qu’à notre échelle, nous avons l’illu­sion d’expérimenter chaque forme dans une conti­nui­té. Le fait que toute forme soit recréée suf­fi­sam­ment rapi­de­ment et soit suf­fi­sam­ment proche de la pré­cé­dente nous pro­cure cette perception.

 

Le cœur

 

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Le cœur incarne la sin­gu­la­ri­té gra­vi­ta­tion­nelle de la bio­lo­gie : c’est par le cœur que nous accé­dons au champ d’in­for­ma­tion du vide quan­tique. Ainsi, le cœur a tou­jours accès à l’in­for­ma­tion avant n’im­porte quel autre organe du corps, le cer­veau y com­pris. C’est en fait l’u­nique organe qui envoie davan­tage d’in­for­ma­tions au cer­veau qu’il n’en reçoit.


La conscience que nous avons de nous-même repose sur un feed­back d’in­for­ma­tion entre le vide quan­tique et la matière. Plus nous sommes capables d’aller pro­fon­dé­ment à l’in­té­rieur de nous pour accé­der au champ quan­tique, plus notre rayon­ne­ment dans la matière sera impor­tant. En effet, il existe une rela­tion directe entre l’ef­fon­dre­ment gra­vi­ta­tion­nel et l’ex­pan­sion du champ élec­tro­ma­gné­tique [3].

Pour décou­vrir d’autres facettes de la rela­tion Féminin / Masculin, vous pou­vez éga­le­ment plon­ger dans la lec­ture du prin­cipe de genre.

             

               

                 



Notes et références
    

[1] Un tétra­èdre est une pyra­mide à base tri­an­gu­laire
[2] La sphère et le tétra­èdre sont com­plé­men­taires l’un de l’autre d’un point de vue géo­mé­trique. Le tétra­èdre est la struc­ture la plus stable, la sphère est la plus instable.
[3] Voir éga­le­ment l’ar­ticle sur le prin­cipe de rythme, qui met en lumière un autre modèle du cœur, basé sur la géo­mé­trie, et qui rejoint la théo­rie de Nassim Haramein.

               

Visuels et textes : © Gaetana




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